Etymologie, Etimología, Étymologie, Etimologia, Etymology, (griech.) etymología, (lat.) etymologia, (esper.) etimologio
IT Italien, Italia, Italie, Italia, Italy, (esper.) Italujo
Region, Región, Région, Regione, Region, (lat.) regio, (esper.) regionoj

Latium, Latium, Lazio
(Rom, Rome, Rome)

Logo Etymologie-Portal
Bild
Bild
Bild

A

B

C

"§"
Cantaloup (W3)

Dt. "Cantaloupe", dt. "Kantalupe", engl. "Cantaloup", engl. "Cantaloupe", frz. "cantaloup", ist die Bezeichnung für eine "Zuckermelonenart". Den Namen erhielt sie nach dem ersten europäischen Anbau bei "Cantalupo", einer vormals päpstlichen Villa bei Rom.

"Cantaloupe" bedeutet wahrscheinlich "Wolfsgeheul" und setzt sich zusammen aus lat. "cantus" = dt. "Gesang" (findet man auch in dt. "Kantor" = dt. "Leiter eines Kirchenchors") und lat. "lupus" = dt. "Wolf".

Also da wo einst die Wölfe heulten, ließen sich vor 2000 Jahren reiche Römer ein paar Villen bauen. Und später nahm es die katholische Kirche in Besitz.

Mindestens eine Quelle bezieht die Bezeichnung "Cantaloupe" allerdings nicht auf die päpstliche Villa bei Rom sondern auf eine Stadt, namens "Cantalupo", in Ligurien, nahe der Grenze zu Frankreich.

(E?)(L?) https://www.cnrtl.fr/etymologie/cantaloup

"CANTALOUP", subst. masc.

Étymol. et Hist. [1703 Bossard d'apr. Dauzat 1973]; 1775 "cantaloupe" (Valm. t. 4, p. 89 : Le petit melon de Florence, ou "cantalupi" ["cantaloupe"]); 1791 "cantaloup" (Filassier, Dict. du jardinier fr. ds Roll. Flore t. 6, p. 41). Mot issu d'un topon.; selon l'hyp. la plus couramment reçue (FEW t. 2, p. 220a) de "Cantalupo", nom d'une localité située près de Rome où cette variété de melon était cultivée; cf. Annales de Flore, 1839, p. 195 ds Roll., loc. cit., p. 42); l'ital. "cantalupo" n'est pas attesté av. le xixes. (DEI).


(E?)(L?) http://www.oedilf.com/db/Lim.php?Word=cantaloup

Limericks on "cantaloup"


(E?)(L?) http://bdl.oqlf.gouv.qc.ca/bdl/gabarit_bdl.asp?t1=1&id=3542

"Cantaloup"

Un "cantaloup" est un melon à la chair orangée, sucrée et parfumée, dont l’écorce jaune verdâtre est côtelée.

"Cantaloup" se prononce généralement [kãtalu] (kan-ta-lou) en français : le "p" final est muet. Le nom de ce fruit viendrait probablement de "Cantalupo", nom d’une ancienne villa des papes située près de Rome, où ce melon était cultivé.

Une autre origine est parfois avancée : il se pourrait également que le fruit ait été nommé d’après le village de "Cantaloup" situé en Languedoc-Roussillon en France. Ce mot est apparu en français au XVIIIe siècle, d’abord sous la forme "cantaloupe", puis "cantaloup" vers la moitié du XIXe siècle.

Au Québec, on emploie ce terme le plus souvent pour désigner un autre type de melon, le melon brodé, qui est beaucoup plus cultivé en Amérique du Nord. C’est peut-être sous l’influence du terme anglais "cantaloupe", lui-même emprunté au français au milieu du XIXe siècle, et employé aux États-Unis pour désigner le melon brodé, que "cantaloup" est employé en ce sens et prononcé [kãtalup] (kan-ta-loupe) au Québec.

Il est à noter que le nom "cantaloup" est masculin.


(E?)(L?) http://bdl.oqlf.gouv.qc.ca/bdl/gabarit_bdl.asp?t1=1&id=2736

"cantaloup" - melon dont la chair est orange

Nom d'origine: "Cantalupo" - villa des papes, près de Rome, où l'on cultivait ce melon


(E?)(L?) http://bdl.oqlf.gouv.qc.ca/bdl/gabarit_bdl.asp?t1=1&id=3738

Mots dans lesquels figurent des consonnes muettes rares en finale


(E?)(L?) https://web.archive.org/web/20210508193655/http://projects.chass.utoronto.ca/langueXIX/dg/08_t1-2.htm

§ 12. -- Italien.

Dès le XIIe siècle, sinon plus tôt, la littérature en langue vulgaire de la France a joui d'une grande vogue au delà des Alpes et a servi de modèle aux premiers poètes qui se sont hasardés à composer en italien : c'est ce qui explique que la langue de Dante et de Pétrarque offre certains gallicismes facilement reconnaissables, pour le philologue, sous l'habit toscan (75).

En revanche, comme l'influence de la littérature italienne sur la littérature française a été à peu près nulle jusqu'au XVIe siècle (76), on ne s'étonnera pas que l'ancien français n'ait pour ainsi dire aucun mot d'origine italienne (77). Les premiers emprunts se sont produits au commencement du XIVe siècle, et ils sont dus aux relations commerciales, diplomatiques et militaires qui devinrent plus fréquentes dès lors entre les deux pays. Il est curieux de les suivre à la piste : Enfin, le grand mouvement de la Renaissance, provoqué surtout par les expéditions des Français en Italie, amène une véritable invasion de mots italiens, invasion que l'on peut constater dans toutes les branches de l'activité humaine, mais qui est surtout sensible dans la littérature proprement dite, les beaux-arts (surtout l'architecture et la musique (78)), la guerre et le sport (notamment l'escrime et l'équitation). Les protestations passionnées de Henri Estienne arrêtèrent peut-être un instant l'engouement pour les choses et les mots d'Italie. Mais les emprunts reprirent bientôt, plus rares toutefois, et ils ont continué jusqu'à nos jours. Un millier de mots environ sont ainsi venus s'ajouter à notre vocabulaire. En outre, il ne faut pas oublier que l'italien, concurremment avec le provençal et l'espagnol, a contribué au développement du suffixe "ade" (79), et que nous lui devons le suffixe "esque", § 149, et les superlatifs en "issime", § 589.

Liste des mots d'origine italienne
...
Cantaloup
...


(E?)(L?) https://web.archive.org/web/20220124134413/http://projects.chass.utoronto.ca/langueXIX/dg/09_t1-3.htm

§ 36. - Noms propres devenant noms communs.

Un nom propre peut devenir nom commun, et il le devient par des voies diverses.

Tantôt il passe par une sorte de périphrase où il détermine d'abord le nom commun qu'il doit ensuite remplacer : un fusil Chassepot ; ici le nom propre détermine le nom commun ; puis celui-ci se sous-entend : un chassepot. Tantôt il se transforme immédiatement en nom commun : un barème. Quelquefois il garde sa forme primitive précédée de l'article féminin : coiffure à la Titus ; mais, le plus souvent, la préposition et l'article se sous-entendent : coiffure à la Fontange devient coiffure Fontange, puis une fontange. Enfin l'on voit des adjectifs de noms propres s'employer substantivement : bohémien, gascon, etc.

Les sources de ces noms sont très diverses. Tantôt ils rappellent soit ceux qui ont découvert ou inventé un objet, soit ceux dont le nom, pour une cause ou pour une autre, a été attaché à l'invention ou à la découverte :
...
Cantaloup
...


(E1)(L1) http://books.google.com/ngrams/graph?corpus=7&content=Cantaloup
Abfrage im Google-Corpus mit 15Mio. eingescannter Bücher von 1500 bis heute.

Frz. "Cantaloup" taucht in der Literatur um das Jahr 1770 / 1820 auf.

Erstellt: 2020-04

"§"
Cantaloupe (W3)

Dt. "Cantaloupe", dt. "Kantalupe", engl. "Cantaloup", engl. "Cantaloupe", frz. "cantaloup", ist die Bezeichnung für eine "Zuckermelonenart". Den Namen erhielt sie nach dem ersten europäischen Anbau bei "Cantalupo", einer vormals päpstlichen Villa bei Rom.

"Cantaloupe" bedeutet wahrscheinlich "Wolfsgeheul" und setzt sich zusammen aus lat. "cantus" = dt. "Gesang" (findet man auch in dt. "Kantor" = dt. "Leiter eines Kirchenchors") und lat. "lupus" = dt. "Wolf".

Also da wo einst die Wölfe heulten, ließen sich vor 2000 Jahren reiche Römer ein paar Villen bauen. Und später nahm es die katholische Kirche in Besitz.

Mindestens eine Quelle bezieht die Bezeichnung "Cantaloupe" allerdings nicht auf die päpstliche Villa bei Rom sondern auf eine Stadt, namens "Cantalupo", in Ligurien, nahe der Grenze zu Frankreich.

(E?)(L?) https://www.britannica.com/plant/cantaloupe

"Cantalupensis" group, the true "cantaloupes", which are characterized by a rough warty rind and sweet orange flesh. They are common in European markets and are named for "Cantalupo", Italy, near Rome, where these melons were early grown from southwestern Asian stock.
...


(E?)(L?) https://www.dictionary.com/browse/cantaloupe

"cantaloupe", "cantaloup", noun, a variety of melon, "Cucumis melo cantalupensis", of the gourd family, having a hard scaly or warty rind, grown in Europe, Asia, and the United States. A muskmelon having a reticulated rind and pale-orange flesh.


(E?)(L?) https://www.etymonline.com/search?q=cantaloupe

"cantaloupe" (n.), also "cantaloup", small, round type of melon, 1739, from French, from Italian, from "Cantalupo", name of a former Papal summer estate near Rome, where the melons first were grown in Europe after their introduction (supposedly from Armenia). The place name seems to be "singing wolf" and might refer to a spot where wolves gathered, but this might be folk etymology.


(E?)(L?) https://home.howstuffworks.com/muskmelon-cantaloupe.htm

The name "cantaloupe" applies to two types of muskmelons, but most often North Americans use "cantaloupe" refering to the reticulated muskmelon, known for its bright orange flesh and distinctive smell. "Cucumis melo cantalupensis" is the European or true "cantaloupe", known by its pale green outer skin. This article pertains to "Cucumis melo reticulatus", which is much more common in the Americas.

The muskmelon is a long trailing annual vine that belongs to the cucumber family. The netted melon, or muskmelon, is usually called a cantaloupe. "Real cantaloupe" (the European variety) is not often grown in home gardens.
...


(E?)(L?) http://www.marthabarnette.com/learn_c.html#cantaloupe

...
This sweet melon gets its name from a vacation getaway - namely, the pope's. This villa, just outside Rome in the town of "Cantalupo", was where the Italians first cultivated this delicately flavored fruit from Armenia. Therefore they christened it with the name that evolved into "cantaloupe".
...


(E?)(L?) https://www.oedilf.com/db/Lim.php?Word=cantaloupe

Limericks on "cantaloupe"


(E?)(L?) http://www.obst-gemuese.at/product/pages/cantaloupe

"Cantaloupe Melone", "Cucumis melo var. cantalupensis"

Synonym: "Kantalupe Melone", "Warzenmelone"

Zuckermelonen, Allgemeines

"Cantaloupe Melonen", manchmal auch "Warzenmelonen" genannt, sind - neben den Netzmelonen und den Honigmelonen - eine der drei großen Gruppen der Zuckermelonen. Die wichtigsten Vertreter der "Cantaloupe Melonen" sind die "Charentais Melone" und die "Ogen Melone".

Ursprung und Geschichte

Zuckermelonen, Ursprung und Geschichte

"Cantaloupe Melonen" stammen ursprünglich aus "Cantalupo", einer in Ligurien liegenden kleineren Küstenstadt nahe der französisch-italienischen Grenze.
...


(E?)(L?) https://www.oedilf.com/db/Lim.php?Word=cantaloupe%20terrain

Limericks on "cantaloupe terrain"


(E?)(L?) https://www.visualthesaurus.com/?word=cantaloupe

Cantaloupe


(E?)(L?) https://en.wikipedia.org/wiki/Cantaloupe

...
Etymology and origin

The name "cantaloupe" was derived in the 18th century via French "cantaloup" from Italian "Cantalupo", which was formerly a papal county seat near Rome, after the fruit was introduced there from Armenia. It was first mentioned in English literature in 1739. The "cantaloupe" most likely originated in a region from South Asia to Africa. It was later introduced to Europe and, around 1890, became a commercial crop in the United States.

"Melon" derived from use in Old French as "meloun" during the 13th century, and from Medieval Latin "melonem", a kind of pumpkin. It was among the first plants to be domesticated and cultivated.

The South African English name "spanspek" is said to be derived from Afrikaans "Spaanse spek" = engl. "Spanish bacon"); supposedly, Sir Harry Smith, a 19th-century governor of Cape Colony, ate bacon and eggs for breakfast, while his Spanish-born wife Juana María de los Dolores de León Smith preferred "canteloupe", so South Africans nicknamed the eponymous fruit "Spanish bacon". However, the name appears to predate the Smiths and date to 18th-century Dutch Suriname: J. van Donselaar wrote in 1770, "Spaansch-spek is the name for the form that grows in Suriname which, because of its thick skin and little flesh, is less consumed".
...


(E?)(L?) https://de.wikipedia.org/wiki/Cantaloupe-Melone

...
Ursprung

Die "Cantaloupe-Melone" wurde vor ca. 5000 Jahren im Iran angebaut, vor etwa 4000 Jahren im östlichen Mittelmeer (Griechenland, Ägypten).

Etwa 1700 wurde sie in "Cantalupo" in Sabina (namensgebend), einem Adelssitz nördlich von Rom, aus Samen gezogen, die aus Armenien stammten. 1739 wurde sie erstmals in England kultiviert.
...


(E?)(L?) https://en.wikipedia.org/wiki/Cantalupo_in_Sabina

"Cantalupo" in Sabina (Sabino: "Candalupu") is a town and comune in the province of Rieti, on the Sabine Hills of Lazio. It is famous as the reputed origin of the muskmelon called a "cantaloupe melon".

It is one of several Italian comuni named "Cantalupo" ("song of the wolf" or "howl of the wolf" or literally "singing wolf") and it seems that these place names are due to an elevated presence of "wolves" at the time of their naming (probably because wolves could be heard howling, but this etymology is actually disputed nowadays).

History

"Cantalupo" in Imperial Roman times housed a scattering of villas, one belonging to the Tullii, the family of the orator Marcus Tullius Cicero, but in the Migrations period the inhabitants were protected by a walled castle at the high point of a rocky spur, which was in possession of the counts of Cuneo. "Cantalupo" was not mentioned however, until an 11th-century register reported the walled village as a possession of the abbots of Farfa. Though in 1278 the comune's representatives swore fealty to the Papacy, its borderlands position in the marches of Lazio (governed from Rome) and Umbria, "Cantalupo" passed from one feudatory lord to another.

The rocca commanding the town was expanded into a residence for the counts of Sant'Eustachio in the 13th and 14th centuries, and then passed to the Savelli family in the 15th century before it was further enlarged by a series of successive holders of the feodo. The site is now privately owned.

In the Papal States, "Cantalupo" was governed by a direct representative of the Apostolic Camera.

Among the landmark buildings is the baroque church of Santa Maria Assunta in Cielo.
...


(E?)(L?) http://en.wikipedia.org/wiki/List_of_words_derived_from_toponyms

"Cantaloupe" (also called "rockmelon"), a variety of melon, after "Cantalupo", the Pope's summer residence


(E?)(L?) http://wineloverspage.com/search-wine-lovers-page/

About 61 results for "Cantaloupe"


(E?)(L?) http://wisflora.herbarium.wisc.edu/taxa/index.php?taxon=3299

"Cucumis melo L."
Family: "Cucurbitaceae"
"cantaloupe", "melon", "muskmelon"


(E1)(L1) http://books.google.com/ngrams/graph?corpus=0&content=Cantaloupe
Abfrage im Google-Corpus mit 15Mio. eingescannter Bücher von 1500 bis heute.

Engl. "Cantaloupe" taucht in der Literatur um das Jahr 1810 auf.

(E?)(L?) https://corpora.uni-leipzig.de/


Erstellt: 2020-04

D

"§"
Domus Aurea - Rose

Wörtlich bedeutet "Domus Aurea" = "Das goldene Haus".

"Domus Aurea" hieß aber auch ein einzelnes Bauwerk, ein 50ha großer Palast, den sich Nero nach dem Brand in Rom im Jahre 64 erbauen ließ. In dessen Park ließ Vespasian später das Kolosseum errichten. Das Goldene Haus blieb offizielle Residenz der römischen Herrscher bis 235.

Domus Aurea, by Severus and Celer, at Rome, Italy, A.D. 64.

Die englische Redewendung "Fiddling while Rome burns" (= keinen Finger rühren, um ein Problem zu lösen) geht auf die Legende zurück, wonach der römische Kaiser Nero auf der Leier spielte, während Rom brannte. Es gab das Gerücht, dass er das Feuer legen ließ um Platz für sein "Domus Aurea" zu schaffen.

(E?)(L?) http://www.helpmefind.com/rose/pl.php?n=31100


E

"§"
europa
Lazio

(E?)(L3) http://europa.eu/abc/maps/regions/italy/lazio_de.htm


F

G

H

I

J

K

"§"
Kolosseum
Koloss (W3)

Das "Kolosseum" ("Colosseo") in Rom blickte als "Amphitheater" ("amphitheatrum", "zweiseitiges Theater") das Licht der Welt. Die Bezeichnung "Kolosseum" erhielt es erst im Mittelalter. Es verdankt die Bezeichnung einer riesigen Statue neben dem Amphitheater, die als "colossus" bezeichnet wurde. Zwischen dem 8. und 11. Jh. wurde die Bezeichnung "Koloss" (griech. "kolossós" = dt. "Figur") auf das "Amphitheater" übertragen. Damit wurde der Weg frei, "Koloss" als allgemeine Bezeichnung für etwas sehr grosses zu verwenden.

Der Weg von der neutralen "Figur" (unabhängig von der Große), zur "Riesenstatue" führte über die "Figur von Rhodos", "Koloss von Rhodos". Die Bürger von Rhodos gaben im Jahr 280 v. Chr. eine mehr als 30 Meter hohe Bronzestatue des Gottes Helios in Auftrag. Zwölf Jahre später war der "Koloss von Rhodos" fertig. Und ab nun verband sich großartig mit riesenhaft und "kolossal" bezeichnete nur noch große Figuren.

Beard, Mary / Hopkins, Keith: Das Kolosseum.
Ubers.: U. Blank-Sangmeister u. A. Raupach.
251 S. UB 18611 . 6,80

(E?)(L?) http://www.deutschlandfunk.de/vollstaendige-durchleuchtung.676.de.html?dram:article_id=224116

Vollständige Durchleuchtung
Kolosseum wird zum ersten Mal komplett untersucht
Von Thomas Migge
...


(E?)(L?) http://www.kath.de/kurs/vatikan/kolosseum.php

...
Der Name „Kolosseum“ geht zurück auf eine „kolossale“ Statue des Despoten Nero als Sonnengott.
...


(E?)(L?) http://web.kyoto-inet.or.jp./org/orion/eng/hst/roma/colloseu.html


(E?)(L?) http://www.planet-schule.de/sf/php/02_sen01.php?sendung=7846


(E?)(L?) http://www.roma-antiqua.de/antikes_rom/kolosseum/index

Tal des Kolosseum

Panem et circenses, Brot und Spiele: Das war es, wonach die armen Massen der antiken Großstadt der Kaiserzeit verlangten. Politisch eigentlich längst in der Bedeutungslosigkeit versunken, war die plebs Urbana nur dann ein ernstzunehmender Faktor, wenn sie unzufrieden war und ihrem Unmut Luft zu machen drohte. Das wußten auch die Kaiser - und so sorgten sie in großem Stil für Unterhaltung und damit auch für eine Stabilisierung ihrer Herrschaft. Großartigstes Zeugnis dieser Politik ist das Amphitheatrum Flavium, das Kolosseum also, das die Flavischen Kaiser im ersten Jahrhundert n. Chr. errichten ließen. Doch ist das Wahrzeichen Roms nicht die einzige Sehenswürdigkeit, die das Tal des Kolosseum zu bieten hat.
...


(E1)(L1) http://books.google.com/ngrams/graph?corpus=8&content=Kolosseum
Abfrage im Google-Corpus mit 15Mio. eingescannter Bücher von 1500 bis heute.

Dt. "Kolosseum" taucht in der Literatur um das Jahr 1600 / 1800 auf.

(E?)(L?) https://corpora.uni-leipzig.de/


Erstellt: 2014-07

L

M

"§"
Montefiascone, Est, Est, Est (W3)

Der Name der Stadt "Montefiascone" am See Bolsena in der italienischen Provinz Rom geht zurück auf "montes falisci" = "Berg der Falisker" (Einwohner der Stadt Falerii).

Aus "Montefiascone", kommt ein geschätzter Muskatellerwein namens "Est, Est, Est". Diese Bezeichnung verdankt er einer Anekdote, die von W. Müller dichterisch behandelt wurde:

(E?)(L?) http://www.digitale-bibliothek.de/band100.htm

Auf einer Reise gab der Bischof Joh. v. Fugger seinem Diener den Auftrag, vorauszugehen und an jede Schenke, wo er guten Wein finde, "Est" anzuschreiben. In Montefiascone fand der Diener den besten und schrieb deshalb "Est, Est, Est!" an. Der Bischof trank sich tot und erhielt von seinem Diener die Grabschrift: »Est, est, est! propter nimium Est hic Joannes de Fugger dominus meus mortuus est« (mein Herr ist an Übermaß von Est gestorben), die sich noch in der Kirche San Flaviano daselbst vorfindet.


Meyers Großes Konversations-Lexikon (1905)

(E?)(L?) http://www.retrobibliothek.de/retrobib/seite.html?id=111477


(E?)(L?) http://www.newadvent.org/cathen/10529a.htm

Discene of Montefiascone ...
There also is the tomb of that famous drinker whom the wine of Montefiascone brought to his death ("Est, Est, Est"), and who, contrary to report, was neither a canon nor one of the Fugger family of Augsburg.
...


(E3)(L1) http://www.wein-plus.de/glossar/Est%21+Est%21%21+Est%21%21%21+di+Montefiascone.htm
Est! Est!! Est!!! di Montefiascone

N

"§"
Nepeta (W3)

Die botanische Bezeichnung "Nepeta" bezieht sich vermutlich auf die etruskische Stadt "Nepet", "Nepi", wo die Pflanze früh kultiviert wurde. "Die toskanische Stadt Nepet", frz. "Népété", heute "Nepi", liegt heute in der Region "Latium".

(E?)(L?) http://www.calflora.net/botanicalnames/pageN.html


(E?)(L?) http://www.chemie.de/lexikon/d/Echte_Katzenminze/


(E3)(L1) https://www.davesgarden.com/guides/botanary/go/3877/


(E?)(L?) http://erick.dronnet.free.fr/belles_fleurs_de_france/n.o.ety.htm
Nepeta (Lamiaceae)
(E?)(L?) http://www.flickr.com/groups/832037@N24/pool/tags/nepi/


(E?)(L?) http://encyclopedia.jrank.org/NAN_NEW/NEPI_anc_Nepet_or_Nepete_.html


(E2)(L1) http://www.kruenitz1.uni-trier.de/cgi-bin/callKruenitz.tcl


(E?)(L?) http://de.wikipedia.org/wiki/Nepi

Nepi ist eine Gemeinde in der italienischen Region Latium, Provinz Viterbo, 37 km südöstlich der Provinzhauptstadt und 45 km nördlich von Rom.


"§"
Nepeta cataria (W3)

Der botanische Name "Nepeta cataria" der "Katzenminze", frz. "Chataire", engl. "catnip", "catmint", bezieht sich vermutlich auf die etruskische Stadt "Nepet", wo die Pflanze früh kultiviert wurde.

(E?)(L?) http://atilf.atilf.fr/gsouvay/scripts/dmfX.exe?LEX_ENTREE_INITIALES;BALISE=ETYM;BACK;;ISIS=isis_dmf2009.txt;OUVRIR_MENU=2;s=s0a1e2ad0;
Nacheinander "N", "E", "P" anklicken.

(E?)(L2) http://www.britannica.com/
Nepeta cataria (herb) aromatic herb of the mint family (Lamiaceae, or Labiatae). The plant has spikes of small, purple-dotted flowers. Catnip has been used as a seasoning and as a medicinal tea for colds and fever. Because its mintlike flavour and aroma are particularly exciting to cats, it is often used as a stuffing for cat p...

(E?)(L?) http://www.chemie.de/lexikon/d/Echte_Katzenminze/


(E?)(L?) http://caliban.mpiz-koeln.mpg.de/library/species/species_00190.html


"§"
Nepeta faassenii (W3)

Die botanische Bezeichnung "Nepeta" bezieht sich vermutlich auf die etruskische Stadt "Nepet", "Nepi", wo die "Katzenminze" früh kultiviert wurde.

Der zweite teil der botanischen Bezeichnung ehrt den niederländischen Pflanzenzüchter "Johannes Hubertus Faassen" (1892-1963).

(E?)(L?) http://www.biolib.de/


(E6)(L?) http://www.gartendatenbank.de/wiki/nepeta-x_faassenii
Katzenminze (Nepeta x faassenii)

(E?)(L?) http://caliban.mpiz-koeln.mpg.de/library/species/species_00190.html


(E?)(L?) http://de.wikipedia.org/wiki/Hybrid-Katzenminze


"§"
Nepeta glechoma (W3)

Die botanische Bezeichnung "Nepeta" bezieht sich vermutlich auf die etruskische Stadt "Nepet", "Nepi", wo die "Katzenminze" früh kultiviert wurde.

Der zweite Teil "Glechoma" der botanischen Bezeichnung geht zurück auf griech. "glechon", womit die "Polei-Minze" ("Mentha pulegium") bezeichnet wurde. Der Name wurde von Linné auf diese Gattung übertragen, die Gründe sind nicht klar.

(E?)(L?) http://caliban.mpiz-koeln.mpg.de/library/species/species_00190.html


(E?)(L?) http://de.wikipedia.org/wiki/Glechoma#Name


"§"
Nepeta grandiflora (W3)

Die botanische Bezeichnung "Nepeta" bezieht sich vermutlich auf die etruskische Stadt "Nepet", "Nepi", wo die "Katzenminze" früh kultiviert wurde.

Der zweite Teil des botanischen Namens besagt, dass es sich um eine Pflanze mit einer "grossen Blüte" handelt.

(E?)(L?) http://caliban.mpiz-koeln.mpg.de/library/species/species_00190.html


"§"
Nepeta hederacea (W3)

Die botanische Bezeichnung "Nepeta" bezieht sich vermutlich auf die etruskische Stadt "Nepet", "Nepi", wo die "Katzenminze" früh kultiviert wurde.

Der zweite Teil der botanischen Bezeichnung "hederacea" bezieht sich auf lat. "hederaceus" = "efeuähnlich".

(E?)(L?) http://caliban.mpiz-koeln.mpg.de/library/species/species_00190.html


"§"
Nepeta mussinii (W3)

Die botanische Bezeichnung "Nepeta" bezieht sich vermutlich auf die etruskische Stadt "Nepet", "Nepi", wo die "Katzenminze" früh kultiviert wurde.

Der zweite Teil des Botanischen Namens "mussinii" ehrt den russischen Grafen "Apollo Mussin-Puschkin" (d. 1815), der im Jahr 1802 eine Expedition in den Caucasus unternahm.

(E?)(L?) http://caliban.mpiz-koeln.mpg.de/library/species/species_00190.html


(E?)(L?) http://commons.wikimedia.org/wiki/Category:Nepeta_mussinii


(E?)(L?) http://wisplants.uwsp.edu/scripts/detail.asp?SpCode=NEPMUS


"§"
Nepeta neverosa (W3)

Die botanische Bezeichnung "Nepeta" bezieht sich vermutlich auf die etruskische Stadt "Nepet", "Nepi", wo die "Katzenminze" früh kultiviert wurde.

Für den zweiten Teil "neverosa" des botanischen Namens habe ich trotz längeren Suchens keinen Hinweis gefunden.

(E?)(L?) http://luirig.altervista.org/photos/nepeta_neverosa.htm


(E?)(L?) http://caliban.mpiz-koeln.mpg.de/library/species/species_00190.html


"§"
Nepeta nuda (W3)

Die botanische Bezeichnung "Nepeta" bezieht sich vermutlich auf die etruskische Stadt "Nepet", "Nepi", wo die "Katzenminze" früh kultiviert wurde.

Der zweite Teil des botanischen Namens geht zurück auf lat. "nudare" = dt. "entblößen", "entkleiden", "bloßlegen", "enthüllen", "berauben", "plündern", das sich auf "kahle Stengel"bezieht.

(E?)(L?) http://www.floraweb.de/pflanzenarten/foto.xsql?suchnr=6888


(E?)(L?) http://caliban.mpiz-koeln.mpg.de/library/species/species_00190.html


"§"
Nepeta sibirica (W3)

Die botanische Bezeichnung "Nepeta" bezieht sich vermutlich auf die etruskische Stadt "Nepet", "Nepi", wo die "Katzenminze" früh kultiviert wurde.

Der zweite Teil des botanischen Namens "Nepeta sibirica" = "Sibirische Katzenminze" verlegt die italienische Stadt nach Sibirien".

Diese Art ist bei uns völlig winterhart.

(E?)(L?) http://caliban.mpiz-koeln.mpg.de/library/species/species_00190.html


"§"
Nepeta teydea (W3)

Die botanische Bezeichnung "Nepeta" bezieht sich vermutlich auf die etruskische Stadt "Nepet", "Nepi", wo die "Katzenminze" früh kultiviert wurde.

Zum zweiten teil des botanischen Namens "Nepeta teydea" konnte ich keinen Hinweis finden.

(E?)(L?) http://pages.unibas.ch/botimage/art4.htm


"§"
Nepeta tuberosa (W3)

Die botanische Bezeichnung "Nepeta" bezieht sich vermutlich auf die etruskische Stadt "Nepet", "Nepi", wo die "Katzenminze" früh kultiviert wurde.

Der zweite teil des botanischen Namens "Nepeta tuberosa" dürfte auf lat. "tuberare" = "schwellen" zurück gehen und dürfte sich auf knollenartige Wurzeln beziehen.

(E?)(L?) https://www.anniesannuals.com/signs/n/nepeta_tuberosa.htm


"§"
Nepetalacton (W3)

Das nach der botanischen Bezeichnung "Nepeta cataria", "Katzenminze", benannte "Nepetalacton" ist ein Iridoid wie das Actinidin. Beide kommen in der Katzenminze vor und stellen das wirksame Prinzip der Katzen-Anlockung dar. Der Stoff ist also indirekt nach der etruskische Stadt "Nepet", "Nepi" benannt.

(E?)(L?) http://www.chemie.de/lexikon/


"§"
nepetifolia (W3)

Die Bezeichnung bot. "nepetifolia" bedeutet "Blätter wie Nepeta", ("Blätter wie die Katzenminze").

(E3)(L1) https://www.davesgarden.com/guides/botanary/go/8342/


"§"
nepetoides (W3)

Die Bezeichnung bot. "nepetoides" bedeutet "der Nepeta ähnlich", ("wie die Katzenminze").

(E?)(L?) https://www.davesgarden.com/guides/botanary/go/9871/


O

"§"
ostia-antica
Roms antiker Hafen

Computerrekonstruktionen

(E?)(L?) http://www.ostia-antica.org/

This website is dedicated to Ostia, the harbour city of ancient Rome. Here you will find information for professional archaeologists and historians, for students of Roman archaeology and history, and for interested lay-people.


Erstellt: 2012-09

P

Q

R

"§"
roma-antiqua
Virtuelle Rundgänge durch Rom

(E?)(L?) http://www.roma-antiqua.de/

Inhalt | Karte des antiken Rom | Forum Romanum | Kapitol | Palatin | Kaiserforen | Marsfeld | Circus Maximus & Süden | Geschichte & Geschichten


Erstellt: 2012-09

"§"
Roms sieben Hügel

Die Sieben Hügel Roms sind:

Erstellt: 2011-05

S

"§"
Spanische Treppe
Spanish Steps (W3)

Die "Spanische Treppe", engl. "Spanish Steps", in Rom verdankt ihre Bezeichnung der Nähe zur (ehemaligen) Spanischen Botschaft beim Vatikan.

"spanisch" heißt die berühmte Freitreppe nur bei uns Deutschen. Ihr korrekter Name lautet "Treppe der Heiligen Dreifaltigkeit vom Berge".

Gebaut wurde sie im 17. Jahrhundert, um den steilen Zugang zur Kirche zu erleichtern. Den spanischen Namen in deutschen Reiseführern verdankt sie dem darunter gelegenen Spanischen Platz (Piazza di Spagna) - und der wiederum hatte früher tatsächlich viel mit Spanien zu tun: Hier stand, als die Päpste auch noch weltliche Herrscher waren, die spanische Botschaft beim Vatikan.

(E?)(L?) http://news.bbc.co.uk/sport2/hi/other_sports/swimming/8179813.stm

Steve Parry meets up with GB swimmers Chris Walker-Hebborn and James Goddard at the Spanish Steps in Rome, and chats about what it takes to make it to the top of the sport.


(E?)(L?) http://www.geo.de/GEO/reisen/wissenstests/wissenstest-rom-68252.html

Wissenstest: Rom

Rom ist eine Reise wert. Aber kennen Sie sich aus mit der Ewigen Stadt? An welchem Platz liegt die Spanische Treppe? Wie heißt der größte Brunnen Roms? Testen Sie Ihr Wissen!


(E?)(L?) http://www.nationalgeographic.com/traveler/articles/1076romanholiday.html

...
I decide to try my luck on the "Spanish Steps", that curving staircase that cascades down from the Trinità dei Monti church, home to a permanent population of teenage boys inspecting the girls who are inspecting the lingerie at the Dolce & Gabbana store. Sandwiched between the Keats-Shelley Memorial House and Babington's Tea Rooms, named after the nearby "Spanish embassy" to the Vatican, and a favorite photo-op for Japanese shoppers, the Steps are about as cosmopolitan a setting as you can find in Rome.
...


(E?)(L?) http://www.zehn.de/die-10-schoensten-geheimen-ecken-von-rom-6428628-0

Die 10 schönsten geheimen Ecken von Rom

Kolosseum, Spanische Treppe - das Programm vieler Urlauber ist fix und wie das von Millionen anderen. Aber die Ewige Stadt hat viel mehr zu bieten. Diese Plätze werden Sie verzaubern ... mehr
veröffentlicht am 03.07.2011
AUTOR: Julia D'Acunto
...
Die 10 schönsten geheimen Ecken von Rom im Überblick


Erstellt: 2014-07

T

U

V

W

X

Y

Z

Bücher zur Kategorie:

IT Italien, Italia, Italie, Italia, Italy, (esper.) Italujo
Region, Región, Région, Regione, Region, (lat.) regio, (esper.) regionoj

Latium, Latium, Lazio
(Rom, Rome, Rome)

A

B

C

D

E

F

G

H

I

J

K

L

"§"
Laurence, Ray (Autor)
Theis-Passaro, Claudia (Übersetzer)
Hunke-Wormser, Annegret (Übersetzer)
Reiseführer in die Welt der Antike
Das alte Rom
Rom und Umgebung im Jahre 300 n. Chr

Gebundene Ausgabe: 160 Seiten
Verlag: Theiss (März 2010)
Sprache: Deutsch


Kurzbeschreibung
Wir befinden uns im alten Rom. Diokletian und Maximian regieren das riesige Römische Reich. Erkunden Sie die Sehenswürdigkeiten in der größten Stadt der Welt.

Ray Laurence nimmt den Leser mit auf eindrucksvolle Entdeckungstouren durch die Stadt am Tiber: das Besondere der verschiedenen Stadtquartiere entdecken, einen Blick hinter die Kulissen werfen, das Außergewöhnliche der antiken Metropole erkunden.

Von Beginn an bekommt der Leser das Gefühl, selbst im Jahr 300 n. Chr. zu leben. Er findet sich im Alltag der Stadt wieder und erhält nützliche Tipps zu Anreise, Unterkunft, Küche oder Einkaufsmöglichkeiten. Auch Anregungen für Aktivitäten jeglicher Art fehlen in diesem Buch nicht: in einer der zahlreichen popinae, den Garküchen der Stadt, speisen oder Gladiatorenkämpfe besuchen. Einen Satz sollte man dabei immer parat haben, wenn man alleine unterwegs ist: Non rape me si placet! - Bitte berauben Sie mich nicht! Eine unterhaltsame Kulturgeschichte des alten Rom.

Über den Autor
Ray Laurence ist Archäologe. Sein besonderes Interesse gilt der Stadt Rom sowie Straßen und Landschaften im Römischen Reich.


(E?)(L?) http://www.theiss.de/


Erstellt: 2010-09

M

"§"
Mahr, Johannes (Herausgeber)
Rom: Die gelobte Stadt. Eine literarische Reise

Taschenbuch: 273 Seiten
Verlag: Reclam, Philipp, jun. GmbH, Verlag (1. April 2012)
Sprache: Deutsch


Kurzbeschreibung
Eine Romreise war Pflicht. Zunächst für den Adel und die Künstler, dann für das gebildete Bürgertum. Und jeder, der in Rom gewesen war, wollte seinen Aufenthalt dokumentieren, seine Erlebnisse der Nachwelt überliefern. Natürlich hatte er selbst, bevor er seine Reise antrat, die Reiseberichte seiner Vorgänger gelesen, brachte bereits ein Bild mit - zu einem nicht geringen Teil gespeist aus Literatur - und malte selbst am Bild der ewigen Stadt weiter: Luther und Cellini, Winckelmann und Goethe, Herder, Karl Philipp Moritz, Seume und Humboldt, Chateaubriand, Madame de Stael, Byron und Platen, Stendhal, Fanny Mendelssohn, Dickens und Jacob Burckhardt, Marc Twain, Gregorovius, Nietzsche und Oscar Wilde, Freud, Cesare Pavese, Ingeborg Bachmann und Günter Eich, Rolf Dieter Brinkmann, Josef Brodsky, Ingo Schulze, Josef Winkler, Durs Grünbein und F. C. Delius.


(E?)(L?) http://www.reclam.de/detail/978-3-15-020252-4

Inhaltsverzeichnis
Einleitung
Francesco Petrarca - Nikolaus Muffel - Conrad Celtis - Franciscus Albertinus - Lodovico Ariosto - Martin Luther - Francisco Delicado - Pietro Aretino - Joachim du Bellay - Benvenuto Cellini - Michel de Montaigne - Andreas Gryphius - Charles de Brosses - Johann Caspar Goethe - Johann Joachim Winckelmann - Tobias Smollett - Johann Jakob Volkmann - Wilhelm Heinse - Johann Wolfgang Goethe - Johann Gottfried Herder - Karl Philipp Moritz - Jean Paul - Karl Ludwig Fernow - Friederike Brun - Johann Gottfried Seume - Wilhelm von Humboldt - Fran?ois-René Vicomte de Chateaubriand - Germaine de Stäel - Carl Victor von Bonstetten - Zacharias Werner - George Gordon Lord Byron - Dorothea Schlegel - Franz Grillparzer - Wilhelm Müller - August von Platen - Wilhelm Waiblinger - Stendhal - Joseph von Eichendorff - Gustav Nicolai - Giuseppe Gioacchino Belli - Hans Christian Andersen - Fanny Mendelssohn - Charles Dickens - Adolf Stahr - Jacob Burckhardt - Conrad Ferdinand Meyer - Hippolyte Taine - Mark Twain - Henry James - Friedrich Theodor Vischer - Ferdinand Gregorovius - Friedrich Nietzsche - Gabriele D’Annunzio - Stefan George - Oscar Wilde - Rainer Maria Rilke - Benito Mussolini - Gertrud von Le Fort - Sigmund Freud - Reinhold Schneider - Czeslaw Milosz - Cesare Pavese - Werner Bergengruen - Marie Luise Kaschnitz - Ingeborg Bachmann - Roger Peyrefitte - Pier Paolo Pasolini - Carlo Emilio Gadda - Giuseppe Ungaretti - Günter Eich - Elsa Morante - Rolf Dieter Brinkmann - Peter Huchel - Josef Brodsky - Uwe Timm - Klaus Modick - Josef Winkler - Ingo Schulze - Durs Grünbein

Editorische Notiz
Verzeichnis abgekürzt zitierter Literatur
Verzeichnis der Abbildungen



Erstellt: 2012-04

N

O

P

Q

R

S

T

U

V

W

"§"
Weeber, Karl-Wilhelm
Alltag im Alten Rom - Das Landleben
Ein Lexikon

(E?)(L?) https://rodlzdf-a.akamaihd.net/none/zdf/16/12/161204_rom_weeber_int_tex/1/161204_rom_weeber_int_tex_2328k_p35v13.mp4

ZDF - Terra X - "Der normale Arbeitnehmer hatte keinen Anspruch auf Urlaub" - Interview mit Althistoriker Prof. Karl-Wilhelm Weeber über das Leben der einfachen Römer - 01.12.2016


(E?)(L?) https://www.froelichundkaufmann.de/geschichte/alltag-im-alten-rom-das-stadtleben.html?listtype=search&searchparam=Weeber&

Anhand zahlreicher literarischer Quellen und archäologischer Befunde wird das Alltagsleben der Römerinnen und Römer bis in kleine Details hinein rekonstruiert eine Geschichte des Volkes, nicht der Eliten. Weeber beleuchtet verschiedene Aspekte des römischen Alltags, darunter die sozialen Strukturen, Wohnverhältnisse, Ernährung und Freizeitaktivitäten. Er beschreibt das geschäftige Treiben in den Straßen Roms, das bunte Markttreiben und die Bedeutung öffentlicher Bäder als soziale Treffpunkte. Zudem wird auf die Rolle von Politik und Religion im städtischen Leben eingegangen. Durch anschauliche Darstellungen und Rekonstruktionen vermittelt der Autor ein lebendiges Bild vom urbanen Leben in einer der faszinierendsten Metropolen der Antike. Das Buch ist Lexikon, unterhaltsames Lesebuch, kompetentes Nachschlagewerk und opulenter Bildband in einem. Zahlreiche Quellenauszüge und über 300 Abbildungen belegen das Berichtete in Wort und Bild. Ausführliche Literaturangaben und ein detailliertes Sachregister runden die Darstellung ab.


(E?)(L?) http://www.primusverlag.de/titel.php?artikel_id=133663714712

Neuausgabe 2012, 312 S. mit ca. 135 s/w-Abb., Reg., geb.
Format 16,5 x 24,0 cm
ISBN 978-3-86312-027-6

Wie lebten die Römer auf dem Land? Von A wie Agrarwerkzeuge bis Z wie Ziergarten gibt dieses Lexikon einen ebenso profunden wie unterhaltsamen Überblick über alltägliche Verrichtungen. Dabei hat Karl-Wilhelm Weeber das Leben der ›oberen Zehntausend‹ ebenso im Blick, wie das der Bauern, Hirten, Fischer, Tagelöhner und Landsklaven.

Zu allen Stichwörtern gibt es zahlreiche Quellenbelege und unterhaltsame O-Töne römischer Autoren. Das umfangreiche Register macht das Werk zu einem wichtigen Arbeitsinstrument.

Zum Autor:

Karl-Wilhelm Weeber, Jahrgang 1950, ist Honorarprofessor (Alte Geschichte) an der Universität Wuppertal sowie Lehrbeauftragter für die Didaktik der Alten Sprachen an der Ruhr-Universität Bochum. Außerdem ist er ehem. Direktor des Wilhelm-Dörpfeld-Gymnasiums Wuppertal. Er hat zahlreiche Bücher zur römischen Kulturgeschichte verfasst.


(E?)(L?) http://www.altphilologenverband.de/forumclassicum/pdf/FC2001-2.pdf

...
Karl-Wilhelm Weeber, stellt einen Lebensbereich der römischen Antike in den Mittelpunkt, der im allgemeinen ganz im Schatten der urbanen Zivilisation steht. Obwohl zwischen 80 und 90% der Bevölkerung im Imperium Romanum auf dem Lande gelebt haben, wird dieser Bereich in den meisten Darstellungen zur römischen Kulturgeschichte entweder gar nicht oder nur recht stiefmütterlich behandelt. In manchen Latein-Lehrbüchern - so kritisiert er - findet das Landleben gewissermaßen überhaupt nicht statt! Man weiß freilich, agricola und rosa waren die Lieblingsvokabeln der Lehrbücher der 50er Jahre und sind heutzutage verpönt. Dabei ließe sich höchst Interessantes darüber berichten: dass die Rose als Königin der Blumen der antiken Welt gelten kann, klingt plausibel, dass Rosen nicht als mächtiger Strauß überreicht, sondern als Kränze (coronae) oder Girlanden (serta) präsentiert wurden, stellt schon einen Unterschied zur gängigen Praxis heute dar.

Weeber nennt natürlich auch die Plätze im alten Rom, wo die Floristen-Werkstätten zu finden waren. Beiläufig erwähnt er auch, dass wir wohl in Analogie zum Lehnwort "Rose" das lateinische Wort "rosa" heute meist falsch (nämlich mit langem "o") aussprechen. Dass in den Vesuvstädten eine prosperierende Parfümindustrie existierte, dass Nero über 4 Millionen Sesterze für den Rosenschmuck eines luxuriösen Gastmahls ausgab, dass Rosen aus Paestum bezogen und im Winter aus Ägypten importiert, im 1. Jahrhundert gar in Treibhäusern in Italien gezüchtet wurden, kann man neben vielem anderen in einem einzigen Artikel erfahren.

Weit umfangreicher natürlich der Aufsatz über die Bauern, ihre Geschichte, ihren Alltag, ihre Verklärung in der Literatur, ergänzt durch einen eigenen Artikel „Bauernsprache Latein“, in dem in Erinnerung gerufen wird, wie stark die alltägliche Vorstellungswelt das Lateinische in lexikalischer Hinsicht geprägt hat. Übrigens kommt WEEBER immer wieder auf den kulturellen Hintergrund von Sprache zu sprechen. Wenn etwa Engländer und Franzosen jeden Monat ihr "salary" bzw. "salaire" in Empfang nehmen (das deutsche "Salär" ist etwas aus der Mode gekommen), so spiegelt sich darin die Praxis der Großgrundbesitzer und später dann des römischen Staates, den Unfreien bzw. den Offizieren, Professoren und Ärzten ein "salarium", ein "Salzgeld", ursprünglich eine Naturalien-Bezahlung, zukommen zu lassen.
...
Was aber hat, wenn "Römer spinnen", das mit ihrem Nationalstolz als "Pflüger" zu tun? Des Rätsels Lösung liegt in der Etymologie von "de-lirare". Das Verb bezeichnet nämlich ursprünglich ein Abweichen ("de-") vom "lirare", dem "Einfurchen" des Samens mithilfe eines am Pflug angebrachten Streichbretts. ‚Wenn die Samen ... nicht ordentlich zugedeckt werden, spricht man von einer "deliratio"‘, erläutert PLINIUS (NH XVIII 180). Dieses "Verlassen der Furche", "Abweichen von der geraden Linie" wurde schon früh in der übertragenen Bedeutung "verrückt sein", "irre reden" gebraucht. Auch das "delirium" als medizinischer terminus technicus war schon bekannt (Cels. II 6)“ (Art. Pflug, 227f).
...
Register mit über 900 Sachbegriffen
...
Josef Rabl


(E?)(L?) http://www.altphilologenverband.de/forumclassicum/pdf/MDAV1995-2.pdf

...
Mit dem 450-Seiten-Lexikon über den Alltag im alten Rom hat der Autor sich selbst übertroffen. Gäbe es eine Bestenliste von Neuerscheinungen, die den Lateinunterricht wirklich bereichern und voranbringen, dieses Lexikon müßte derzeit zweifelsfrei die erste Stelle einnehmen. Schon beim Blättern liest man sich unweigerlich fest: da gibt es zunächst Beiträge zu ganz konventionellen Themen wie Bestattung, Buchhandlung, Familie, Freigelassener, Handwerker, Grabmal, Kalender, Kleidung, Lehrer, Preise und Löhne, Schule, Sport, Totengedenken oder Wasserversorgung. Es finden sich aber auch völlig überraschende (und die Neugier weckende) Artikelüberschriften wie Abfallbeseitigung, Arbeitslosigkeit, Freizeit, Fremdenfeindlichkeit, Grundnahrungsmittel, Haustier, Hochhaus, Imbißstuben, Innere Sicherheit, Kindergeld, Krankenversicherung, Kühlverfahren, Lärm, Liebesbrief, Miete, Mittagspause, Obst, Schirm, Sozialleistung, Straßenkriminalität, Süßstoff, Tischsitten, Tourismus, Unterhaltungsmusik, Wette, Zahnersatz oder Zoo und vieles mehr. Insgesamt 213 Artikel bietet dieser voluminöse Band, Artikel, nicht trocken und wissenschaftlich unterkühlt, nicht komprimiert bis zur Unverdaulichkeit, sondern im lockeren Erzählton, amüsant, voller Details. Der Autor komplettiert seine Artikel mit vielen Belegstellen aus der antiken Literatur, mit knappen Hinweisen auf weiterführende Fachliteratur, aufgelockert durch Illustrationen in Schwarz-weiß, beispielsweise eine Abbildung von zwanzig römischen Frauenfrisuren nach Münzportraits (117).
...
Josef Rabl, Berlin


Erstellt: 2014-12

"§"
Weeber, Karl-Wilhelm
Arm in Rom
Wie die kleinen Leute in der größten Stadt der Antike lebten
(W3)

(E?)(L?) https://www.froelichundkaufmann.de/geschichte/arm-in-rom-wie-die-kleinen-leute-in-der-groessten-stadt-der-antike-lebten-froeka.html

War das alte Rom ein Sozialparadies? Mit staatlich alimentierten Müßiggängern, die der Kaiser mit Brot und Spielen bei Laune hielt? Mit dieser und anderen Legenden räumt Karl-Wilhelm Weeber in diesem Buch auf, in dem es um das Leben der Armen und Außenseiter in der größten Stadt der Antike geht: eine Alltagsgeschichte von 85% der Menschen in Rom. Das antike Rom war eine Klassengesellschaft, und die Römer machten daraus keinen Hehl. Die Elite brachte den sogenannten kleinen Leuten - etwa 85 % der Bevölkerung, die von der Hand in den Mund lebten - wenig mehr als Verachtung entgegen. In den Quellen kommt diese Mehrheit der Bevölkerung nur am Rande vor. Wir sind deshalb geneigt, das antike Rom vor allem aus dem Blickwinkel der Oberschicht zu sehen und zu beschreiben.

Karl-Wilhelm Weeber wechselt die Perspektive. Er stellt die Armen und Außenseiter in den Fokus seiner Geschichte. Wie sah ihr Leben in der Metropole der »goldenen Tempel« und repräsentativen Säulenhallen aus? Und was wissen wir über sie: ihre Lebensbedingungen, ihre Arbeit, ihre Freizeitbeschäftigungen? Dabei räumt er mit hartnäckigen Legenden auf - wie etwa der, dass sich die armen Römer mit Sozialleistungen über Wasser halten konnten und ihr angebliches »Nichtstun« mit Gladiatorenkämpfen und Wagenrennen »versüßt« wurde: Brot und Spiele.


Erstellt: 2025-06

"§"
Weeber, Karl-Wilhelm
Als Rom noch nicht Antike war
Reise in die Römerzeit
(W3)

(E?)(L?) https://www.froelichundkaufmann.de/geschichte/altertum-3000-v-500-n-chr/als-rom-noch-nicht-antike-war-reise-in-die-roemerzeit.html

Rushhour in den Hauptstraßen, Obdachlose unter den Brücken und prächtige Wochenendhäuser, hohe Einwanderungszahlen und Unisex-Toiletten - New York? Berlin? Rom zur Kaiserzeit! Diese Zeitreise ist ein Muss für alle Geschichtsinteressierten, die mehr über das echte Leben im Alten Rom wissen möchten. Was war eigentlich auf den Straßen los, während die ruhmreichen Gladiatoren sich in der Arena die Schädel einschlugen und Feldherren »venividivici« das Römische Reich vergrößerten? Wie lebte es sich in der kosmopolitischen Hauptstadt, berühmt für eine blühende Wirtschaft, mit Smog und Stau? Und in einer Klassengesellschaft mit dekadentem Luxus und großer Armut? Der provokante Slogan »60-Jährige von der Brücke!« wurde schon zur römischen Kaiserzeit heftig diskutiert. Karl-Wilhelm Weeber führt als kundiger Cicerone mit viel Witz und Esprit durch das Rom der Kaiserzeit, er erzählt, was Nachtigallen kosteten (lebend) und wie hoch die Wahrscheinlichkeit war, das 10. Lebensjahr zu erreichen. Wir erfahren, dass Xenophobie in der Einwanderungsstadt (Griechen! syrische Frauen!) die Ausnahme war, Diskriminierung von Menschen mit Behinderung aber gang und gäbe, dass schon damals Raubbau an der Natur betrieben und kritisiert wurde, und dass - funktionierender Rechtsstaat hin, florierende Wirtschaft her - das Leben für die Allermeisten kein Zuckerschlecken war.


Erstellt: 2025-06

"§"
Weeber, Karl-Wilhelm
Baden, spielen, lachen
Wie die Römer ihre Freizeit verbrachten

(E?)(L?) http://www.primusverlag.de/titel.php?artikel_id=117869699230

Geschichte erzählt, Band 9
2007, 160 Seiten ca. 15 Abb., Halbleinen
Format 13,5 x 21,5 cm
ISBN 978-3-89678-346-2

Geschichte erzählt: Wie verbrachten die Römer ihre Freizeit? Damals (wie heute) lässt sich darauf keine pauschale Antwort geben: je nach Stand und Geschlecht sah die Freizeitgestaltung sehr verschieden aus. So war das Gastmahl mit anschließendem Trinkgelage eher der Oberschicht vorbehalten. Der abendliche Besuch im Gasthaus war dagegen etwas für ›jedermann‹ - ebenso wie Brett- und Glücksspiele. Zu den typischen Freizeitbeschäftigungen überall im Römischen Reich gehörte auch das Baden. Als Kommunikations- und Freizeitzentren ersten Ranges boten die Thermen auch noch andere kulturelle und sportliche Genüsse. Zum Freizeitsport zählten ›Joggen‹, Athletik, Ballspiele oder auch die Jagd. Nicht minder beliebt, freilich ganz anderer Natur waren die Zuschauerspiele: Massenunterhaltung wie Wagenrennen, Theatervorstellungen, Gladiatorenkämpfe oder Tierhetzen.

Karl-Wilhelm Weeber zeichnet ein anschauliches Bild der ganzen Bandbreite an Freizeitaktivitäten im alten Rom und hinterfragt zugleich, wer sich dem arbeitslosen Nichtstun hingeben konnte und wie viel Freizeit man eigentlich hatte.

Zum Autor:

Karl-Wilhelm Weeber, Jahrgang 1950, ist Honorarprofessor (Alte Geschichte) an der Universität Wuppertal sowie Lehrbeauftragter für die Didaktik der Alten Sprachen an der Ruhr-Universität Bochum. Außerdem ist er ehem. Direktor des Wilhelm-Dörpfeld-Gymnasiums Wuppertal. Er hat zahlreiche Bücher zur römischen Kulturgeschichte verfasst.


(E?)(L?) http://www.altphilologenverband.de/forumclassicum/pdf/FC2008-3.pdf

Das hier zu rezensierende Buch von K.-W. Weeber, einem ausgewiesenen Kenner des romischen Alltagslebens, bringt dem Leser bzw. der Leserin die Facetten römischen Freizeitverhaltens näher. In Kap. 1 - quasi in der Einleitung - erläutert der Vf. ausgehend von den antiken Quellen, was die Romer unter "Otium" verstanden haben (7-9). Gemas Martial (V, 20) handele es sich um: Promenieren, Plaudern und Bücher, das Marsfeld und die Aqua Virgo, um Stätten, an denen man Sport treiben und schwimmen könne, so z. B. die Säulenhalle und die Thermen. Ergänzt werden müssen Martials Ausführungen durch Cicero (Arch. 13), wonach zum römischen "Otium" noch die öffentlichen Spiele und die Gastmähler gehören. Ergänzt man das Alles, wie W. ausführt, durch das Reisen, die Wirtshäuser und Kneipen, Treffpunkte der sog. "kleinen Leute" sowie die Prostitution, so liegt die Gliederung dieses Buches vor.
...
Ein reichhaltiger Anmerkungsteil (142-147), ein Abkürzungsverzeichnis (148), ein ausgewogener Literaturteil (149-151) sowie ein Bildnachweis (152) beschließen das Buch. Insgesamt legt W. ein sehr lesenwertes und für den Fachmann sowie die Fachfrau hervorragendes Buch über das Freizeitverhalten der Römer vor.
...
Orm Lahann, Darmstadt


(E?)(L?) http://www.geschichte-erforschen.de/rezensionen/weeber-baden-spielen-lachen.htm

Meine Nominierung für den Preis "Das Historische Buch" 2008:
Karl-Wilhelm Weeber
Baden, spielen Lachen
Wie die Römer ihre Freizeit verbrachten
...


Erstellt: 2014-12

"§"
Weeber, Karl-Wilhelm
Couchsurfing im alten Rom
Zu Besuch bei Wagenlenkern, Philosophen, Tänzerinnen u.v.a.

(E?)(L?) https://www.froelichundkaufmann.de/aktuelles-merkheft/couchsurfing-im-alten-rom-zu-besuch-bei-wagenlenkern-philosophen-taenzerinnen-u-v-a.html

Darmstadt 2022, 13,5 x 21,5 cm, 224 S., 20 s/w-Abb., geb.

Mal angenommen, man könnte sich in das Rom Kaiser Neros zurückbeamen. Karl-Wilhelm Weeber hat sich auf dieses historische Abenteuer eingelassen. Er trifft dort Handwerker und Hausfrauen, begleitet einen Wagenlenker in den Circus Maximus und sieht sich in einer Arztpraxis um. Er schaut einem Bestatter über die Schulter, besucht einen Gladiator bei der »öffentlichen Mahlzeit« vor seinem Kampf, übernachtet bei Schulmeistern und Dichtern, Soßen-Importeuren und Comedians, unterhält sich mit Sklavenhändlern und unfreien Kosmetikerinnen und sieht Graffiti-Schreibern, Tattoostechern und Fast-food-Unternehmerinnen bei der Arbeit zu. Er ist Gast im Palast eines einflussreichen Senators und auf der Party eines schwerreichen Freigelassenen, zieht sich mit dem Philosophen Seneca ins »Armenzimmer« zurück und erhält eine Audienz bei Kaiser Nero. So entsteht in rund 20 Begegnungen und Gesprächen ein farbiges Panorama vom Leben und Arbeiten im Rom des 1. Jh.s - eine Kulturgeschichte aus neuer Perspektive.


Erstellt: 2024-07

"§"
Weeber, Karl-Wilhelm - DRL
Das Römerlexikon

(E?)(L?) https://www.ccbuchner.de/produkt/das-roemerlexikon-7826

ISBN 978-3-7661-5490-3, 200 Seiten, ca. € 19,80, Erscheint im 3. Quartal 2021

Gab es bei den Römern eine Schulpflicht? Gab es Sportvereine? Was machte man damals in seiner Freizeit? Hatten die Menschen überhaupt Freizeit oder Ferien? Wer solche Dinge wissen möchte, muss viele Bücher wälzen und kommt bei Wikipedia und dergleichen schnell an seine Grenzen. Oder man schlägt in diesem Schülerlexikon nach! Karl-Wilhelm Weeber bietet Wissenswertes zu über 100 Stichwörtern. Ob Polizei, Senator, Vegetarier, Umweltschutz oder Arbeit – Schülerinnen und Schüler finden leicht, was sie suchen. Und dank der unterhaltsamen und anschaulichen Wissensvermittlung prägen sich die Informationen noch dazu gut ein.


Erstellt: 2022-01

"§"
Weeber, Karl-Wilhelm
Die Straßen von Rom
Lebensadern einer antiken Großstadt

(E?)(L?) https://www.froelichundkaufmann.de/geschichte/altertum-3000-v-500-n-chr/die-strassen-von-rom-lebensadern-einer-antiken-grossstadt.html

Darmstadt 2021, 13,5 x 21,5 cm, 240 S., 20 s/w-Abb., geb.

»Rom erstickt im Verkehr« - das könnte durchaus eine Schlagzeile aus dem antiken Rom sein. Roms Straßen waren voll, chaotisch und laut. Aber sie hatten auch attraktive Angebote: unzählige Geschäfte für den Alltags- bis zum Luxusbedarf, großes und kleines Straßen-Entertainment vom Jongleur über den Hellseher und die Prostituierte bis hin zu opulenten Circusprozessionen, fliegende Händler, und Hunderte Brunnen für eine sichere Versorgung mit Trinkwasser. Im Spiegel der Straßengeschichte zeigen sich aber auch die Schattenseiten des antiken Rom: Umweltprobleme, ungeklärte Fragen der Müllentsorgung, Straßendreck und -gestank, fehlende nächtliche Beleuchtung, Kriminalität. Reich und arm begegnen auf der Straße, und so geht es auch um das Schicksal sozialer Außenseiter und die Lebensverhältnisse der »kleinen Leute«. Karl-Wilhelm Weeber eröffnet über das pralle Leben auf den Straßen Roms einen ebenso farbigen wie spannend neuen Zugang zur Kultur- und Sozialgeschichte der Stadt in der Antike.


Erstellt: 2024-07

"§"
Weeber, Karl-Wilhelm
Die Weinkultur der Römer

(E?)(L?) http://www.syntropia.de/weinkultur-rmer-p-4009.html

Patmos, 2005. 188 S., 32 Abb. auf Taf. u. Ktn.-Skizz. 22 cm, Gebunden
ISBN: 978-3-491-96137-1
9,95 €

Der "Johnson" der Römer - Nur Weintrinken ist schöner. Römisches Recht, römische Baukunst und lateinische Sprache haben unsere Welt nachhaltig geprägt. Was aber wäre sie ohne das herrlichste Vermächtnis der alten Römer - die Kultur des Weinbaus? In diesem unterhaltsamen, umfassenden Sachbuch lernen wir sie kennen.

Karl-Wilhelm Weeber, einer der bedeutendsten Kenner des antiken Alltagslebens, zeigt in seinem Buch, welche große Bedeutung der Wein im Leben der Römer einnahm und in wie eng sich unsere heutige Weinkultur an die römischen Ursprünge anlehnt.

Mit lexikalischem Teil und zahlreichen Originalstellen in süffiger Übersetzung.


(E?)(L?) http://www.altphilologenverband.de/forumclassicum/pdf/MDAV1994-1.pdf

...
Hier nun behandelt er das vielleicht „erfreulichste Vermächtnis der Römer”, und es gelingt dem Autor, „die Spannung bis zum Schluß zu halten, wozu nicht nur die interessanten Fakten und die lebendige Sprache beitragen, sondern auch die Art und Weise, wie der Autor den Stoff aufbereitet und anbietet. Nach einer kurzen Einführung, die alles Wesentliche kurz und bündig vorgibt, folgt über fünfundachtzig Seiten ein Lexikonteil, in dem die römische Weinkultur von »Alkoholismus« bis »Zungenlöser« nachbuchstabiert wird. Die Texte sind mit Geschichten und Anekdoten reich bestückt und durch Kästchen mit Zitaten angereichert.
...


(E?)(L?) http://www.sandammeer.at/rezensionen/weinkultur-r%F6mer.htm

...
Mit diesem Buch widmet sich Karl-Wilhelm Weeber, der sein umfassendes Wissen über die "alten" Römer bereits in "Alltag im alten Rom. Ein Lexikon", "Decius war hier. Das Beste aus der römischen Graffiti-Szene" und "Flirten wie die Römer" lebendig und abwechslungsreich aufbereitet unter Beweis gestellt hat einem wahrhaft identitätsstiftenden Element des Imperium Romanum: der Weinkultur der Römer. Am Beginn steht eine einleitende Einführung in das Reich des Bacchus, wo Wein als Grundnahrungsmittel galt, gefolgt von einem "kleinen Lexikon zur römischen Weinkultur": vom "Anbaugebiet" zum "Zungenlöser", welches gängige Begriffe eines antiken Lebensgefüges (Amfore, Bleibelastung, Falerner, Harzwein, Mänade, Opfer, Panscherei, Rausch, Satyr, Trinkkönig, usw.) erläutert und anhand überlieferter Zeugnisse dokumentiert.
...


Erstellt: 2014-12

"§"
Weeber, Karl-Wilhelm
Decius war hier
Das Beste aus der römischen Graffiti-Szene

(E?)(L?) http://www.buecher.de/shop/wandmalerei/decius-war-hier-/weeber-karl-wilhelm/products_products/detail/prod_id/35574564/

Schon die römischen Bürger der Antike taten Frust und Lust des täglichen Lebens an Wänden und Mauern kund, wie zum Beispiel die große Anzahl von Graffiti an den Wänden Pompejis bezeugt. Die Wandkritzeleien spiegeln authentisch und unmittelbar das Alltagsleben und entsprechend breit gefächert ist die thematische Palette: Neben Liebeserklärungen, Tagesaktualitäten, Grußbotschaften u. Ä. fand auch Freches und Obszönes seinen Platz. Der renommierte klassische Philologe und Althistoriker Karl-Wilhelm Weeber hat die amüsantesten Exemplare dieser ungewöhnlichen "Literaturgattung" herausgesucht und stellt sie in diesem Buch vor.

Verlag: Bibliographisches Institut, Berlin; Artemis & Winkler
2012, Neuauflage
Ausstattung/Bilder: 2012. 176 S. 195 mm
Seitenzahl: 176
Artemis & Winkler


(E?)(L?) http://www.altphilologenverband.de/forumclassicum/pdf/MDAV1996-3.pdf

...
Auch dieses Buch trifft ins Schwarze. Es bietet 598 Graffiti aus Pompeji im originalen lateinischen Wortlaut, teilweise als Faksimile wiedergegeben, mit deutscher Übersetzung und genauen Fundstellenangaben im "Corpus Inscriptionum Latinarum" ("CIL"). Das Ganze ist in 12 thematische Gruppen gegliedert, wobei der Herausgeber auch vor den sexuellen Lieblingsthemen der Wandkritzeleien in keiner Weise zurückschreckt. Da es hier hauptsächlich ums "Ficken" ("futuere") und "Blasen" ("fellare") in allen nur denkbaren Variationen geht, wird man das Buch nicht gerade als „Schulbuch“ empfehlen können, aber es bietet dem Lehrer eben auch mehr als genügend Material aus diesem Bereich, aus dem er in einer geeigneten Unterrichtssituation eine passende, das Schamgefühl seiner Schüler nicht verletzende Auswahl treffen könnte.
...


Erstellt: 2014-12

"§"
Weeber, Karl-Wilhelm
Flirten wie die Alten Römer

(E?)(L?) http://www.bi-media.de/produkte/flirten-wie-die-alten-romer

ISBN: 978-3-538-03129-6
Format: 11,0 x 18,0 cm
Gewicht: 0,26 kg
Marke: Artemis und Winkler
Details: 226 Seiten

Die Liebeskunst der Alten Römer Ovid hat als Liebeslehrer nichts von seiner Aktualität eingebüsst: Werbe- und Hinhaltestrategien, erotische Finessen, Zärtlichkeit und Leidenschaft - unverkrampft und ohne falsche Scham kommt er zum Punkt. Karl-Wilhelm Weeber, bedeutender Kenner des antiken Alltagslebens, beschreibt Zeit und Werk des Dichters mit viel Sachverstand und Humor. »Glaube mir, nicht auf die Schnelle gelangt man zur Wonne der Venus, Nein, durch Verzögern nur lockt man sie behutsam hervor.« Ovid, Liebeskunst


(E?)(L?) http://www.altphilologenverband.de/forumclassicum/pdf/FC1997-4.pdf

...
Kurzweilig ist schon die Einleitung, in welcher der Verfasser uber die fast 2000jährige moralische Entrüstung uber dieses "unsittliche" Lehrgedicht referiert und sein Vorgehen innerhalb dieser nicht unbedingt nur fur altphilologisch geschulte Leser gedachten Reihe begründet. Er will ein "Sachbuch" vorlegen, in dem er nicht nur Ovid paraphrasiert, sondern gleichzeitig "dolmetschend" (S. 12) fehlendes historisches oder mythologisches Hintergrundwissen vermitteln will. Zudem streicht er heraus, dass das von Ovid vertretene Prinzip echter Partnerschaft zwischen Mann und Frau zutiefst human ist und die gegen den Dichter immer wieder erhobenen Vorwürfe verantwortungslosen Leichtsinns zumindest als sehr einseitig erscheinen lasst.
...
Joachim Richter-Reichhelm, Berlin


Erstellt: 2014-12

"§"
Weeber, Karl-Wilhelm
Ganz Rom in 7 Tagen
Ein Zeitreiseführer in die Antike

Broschiert: 176 Seiten
Verlag: Primus Verlag; Auflage: 1 (März 2008)
Sprache: Deutsch


Kurzbeschreibung
Schon in der Antike war Rom ein beliebtes Reiseziel für Besucher aus dem ganzen Imperium und darüber hinaus. Karl-Wilhelm Weebers Zeitreiseführer - geschrieben für Reisende, die im 2. Jahrhundert n. Chr. die Ewige Stadt besuchen - bietet alles, was man für den Aufenthalt im Rom der Kaiserzeit wissen muss. Das erste Kapitel "Willkommen in Rom" enthält praktische Informationen zu Anreisemöglichkeiten, der besten Reisezeit, Währung, Unterkunft, Essen & Trinken, Shopping sowie Land und Leuten. Kästen verweisen auf die "Top Ten der Sehenswürdigkeiten" in der Millionenstadt sowie die "Do's and Don'ts" der guten Sitten, die ein Besucher kennen sollte. Außerdem gibt es einen "Steckbrief Rom", einen "Feste-Guide" und einen "Kleinen Sprachführer Latein". Auf 14 Stadtspaziergängen für 7 Tage führt der Reiseführer anschließend durch Rom. En passant erfährt man dabei nicht nur viel über die Sehenswürdigkeiten, sondern auch über kulturgeschichtliche Zusammenhänge und Hintergründe. Unter der Rubrik "Facta" bieten Kästen Wissenswertes auf einen Blick, unter "Mirabilia" erfährt der Leser Kurioses, und die "Dicta" liefern dazu Zitate prominenter Zeitgenossen. Abbildungen der Sehenswürdigkeiten und Karten zur Orientierung, außerdem eine Liste der wichtigen öffentlichen Bauten im Anhang runden den Band ab.

Über den Autor
Karl-Wilhelm Weeber, geb. 1950, leitet ein Gymnasium in Wuppertal und ist Professor für Alte Geschichte an der Universität Wuppertal sowie Lehrbeauftragter für Fachdidaktik der Alten Sprachen an der Ruhr-Universität Bochum. Zahlreiche Veröffentlichungen zur römischen Alltags- und Stadtgeschichte.


"§"
Weeber, Karl-Wilhelm
Luxus im alten Rom

(E?)(L?) http://www.altphilologenverband.de/forumclassicum/pdf/FC2004-1.pdf

...
Ex oriente lux, ex occidente luxus. Dies gewitzte Bonmot aus der Feder des polnischen Schriftstellers STANISLAW JERZY LEC aus seinen "Sämtlichen unfrisierten Gedanken" mag auf die Besprechung eines Buches einstimmen, das sich mit dem vielschichtigen Phänomen des Luxus im alten Rom beschäftigt.
...
So dürfte die Zahl der jährlichen Arbeitstage bei Lohnarbeitern zwischen 330 und 350 gelegen haben; arbeitsfreie Wochenenden waren unbekannt. Dass die kaiserlichen congiaria nur ein Tropfen auf dem heisen Stein waren, zeigt das Beispiel eines Geringverdieners, der, wenn er in den Genuss aller 7 congiaria in der 45jährigen Regierungszeit des AUGUSTUS gekommen wäre, pro Jahr damit nicht mehr als knapp zwei Wochenlohne erhalten hätte. Gemessen an den "Superreichen" wie etwa CRASSUS hatten CICERO und PLINIUS d. J. nur zu den "Normalreichen" gezählt. Die Gründe fur die Stabilität der römischen Gesellschaftsordnung mit ihrer gewaltigen sozialen Kluft sieht Weeber in den öffentlichen Sozialmaßnahmen und - vergleichbar dem amerikanischen Tellerwaschermythos - der "grundsätzlich vertikalen Durchlässigkeit der römischen Gesellschaft".
...
Michael Lobe, Bamberg


(E?)(L?) https://www.froelichundkaufmann.de/kulturgeschichte/luxus-im-alten-rom-die-oeffentliche-pracht.html

Prachtentfaltung im öffentlichen Raum unterstrich die Größe und Majestät des Imperium Romanum und band auch den »kleinen Mann« in den Stolz auf die Errungenschaften der römischen Zivilisation ein. Etwas kosten ließ sich der Staat die öffentlichen Spiele - Theater, Gladiatorenkämpfe, Wagenrennen. »Brot und Spiele« gehörten im gesamten Imperium quasi zum zivilisatorischen Standard. Als steinerne Zeugen des Unterhaltungswesens und des architektonischen Luxus« haben sich überall in der einstigen römischen Welt die Ruinen von Theatern, Amphitheatern und Circus-Anlagen erhalten. Unter architektonischem Luxus lassen sich auch andere Aspekte verbuchen: von marmornen Tempeln bis hin zu den Prachtlatrinen - öffentliche Toiletten von wahrhaft großzügigen Ausmaßen. Dabei gingen Funktionalität und Repräsentativität Hand in Hand. Karl-Wilhelm Weeber liefert in diesem durchgängig farbig bebilderten Band eine spannende und unterhaltsame Darstellung der öffentlichen Pracht im Römischen Reich.


(E?)(L?) http://www.perlentaucher.de/buch/karl-wilhelm-weeber/luxus-im-alten-rom.html

Luxus im alten Rom


(E?)(L?) http://www.primusverlag.de/titel.php?artikel_id=122828994354

2009, 2 Bände (nur geschlossen beziehbar), zus. 360 S. mit zahlr. meist farb. Abb., gebunden mit Schutzumschlag
Format 21,0 x 27,0 cm
ISBN 978-3-89678-298-4

Karl-Wilhelm Weeber stellt in den beiden großzügig bebilderten Bänden die vielfältigen Spielformen der Prachtentfaltung im alten Rom vor. Dabei geht es zum einen um den privaten Luxus: Schlemmerei, Prachtvillen oder Gräberluxus - wer zur Oberschicht zählte, konnte buchstäblich von der Wiege bis zur Bahre im Luxus schwelgen.

Der zweite Band dreht sich um die öffentliche Pracht: Thermen und Prachtlatrinen, Amphitheater und Wagenrennen, Aquädukte und Tempel.

Zum Autor:

Karl-Wilhelm Weeber, Jahrgang 1950, ist Honorarprofessor (Alte Geschichte) an der Universität Wuppertal sowie Lehrbeauftragter für die Didaktik der Alten Sprachen an der Ruhr-Universität Bochum. Außerdem ist er ehem. Direktor des Wilhelm-Dörpfeld-Gymnasiums Wuppertal. Er hat zahlreiche Bücher zur römischen Kulturgeschichte verfasst.


Erstellt: 2014-12

"§"
Weeber, Karl-Wilhelm
Lernen und Leiden
Schule im Alten Rom
(W3)

(E?)(L?) https://www.froelichundkaufmann.de/geschichte/altertum-3000-v-500-n-chr/lernen-und-leiden-schule-im-alten-rom.html

Ein vom Marktplatz abgetrennter Bretterverschlag, rings herum Fußgängerstaus und Verkehrsgewühl, kläffende Hunde, neugierige Passanten, die kurz stehen bleiben und die gegen den Krach ankämpfende Stentorstimme des Lehrers: Schule im alten Rom war offenkundig etwas anders als Schule heute. Es gab keine Schulpflicht, keine staatlichen Lehrpläne und keine geregelte Lehrerausbildung. Lehrer war, wer sich so nannte. Karl-Wilhelm Weeber schildert die Realität des römischen Ausbildungssystems auf allen drei Stufen: der Grundschule, der Höheren Schule beim »grammaticus« und der Rhetorik-Ausbildung, die man mit dem Hochschulstudium vergleichen könnte. Er gibt einen farbigen Einblick in die (meist rustikalen) Unterrichtsmethoden, die Lerninhalte und -ergebnisse sowie die Praxis und Theorie des römischen Schulwesens.


Erstellt: 2025-06

"§"
Weeber, Karl-Wilhelm
Nachtleben im alten Rom

(E?)(L?) http://www.primusverlag.de/titel.php?artikel_id=114199941974

3., bibliogr. aktual. Aufl. 2011, 168 S. mit 31 s/w-Abb., gebunden
Format 13,5 x 21,5 cm
ISBN 978-3-89678-742-2

Über das pulsierende Leben in der antiken Millionenmetropole Rom bei Tage berichten Quellen und Literatur ausführlich - wie aber war es um das Nachtleben bestellt? Schliefen die meisten Menschen, weil die bescheidenen Mittel des Altertums in Sachen künstlicher Beleuchtung das schlicht nahe legten? Für das Leben auf dem Lande trifft dieser Eindruck wohl zu. Anders in der Stadt - dort stand den 'Nachtschwärmern' eine Reihe von Möglichkeiten zur Unterhaltung zur Verfügung. Die Oberschicht organisierte diese Unterhaltung in der Regel in den eigenen Häusern, die 'kleinen' Leute suchten Wirtshäuser und 'Bars' auf, um sich dort gemeinsam zu vergnügen. Wie sehr auch Formen der Prostitution zum Nachtleben gehörten, zeigen schlaglichtartig die Berichte über die 'kaiserliche Hure' Messalina.

Ein einleitendes Kapitel steckt die Rahmenbedingungen des Nachtlebens ab: Wer musste nachts arbeiten? Wie dunkel muss man sich die Stadt vorstellen? Wie sah es mit der Sicherheit auf den Straßen aus? Oder mit dem Lärm - seit Caesars Zeiten gab es ein Tagesfahrverbot und dadurch bedingt einen regen nächtlichen Wagenverkehr. Wenn man die Klagen der Einwohner über den Krach glauben darf, dann war Rom im doppelten Sinn "the city that never sleeps".

Zum Autor:

Karl-Wilhelm Weeber, Jahrgang 1950, ist Honorarprofessor (Alte Geschichte) an der Universität Wuppertal sowie Lehrbeauftragter für die Didaktik der Alten Sprachen an der Ruhr-Universität Bochum. Außerdem ist er ehem. Direktor des Wilhelm-Dörpfeld-Gymnasiums Wuppertal. Er hat zahlreiche Bücher zur römischen Kulturgeschichte verfasst.


(E?)(L?) http://www.altphilologenverband.de/forumclassicum/pdf/FC2005-1.pdf

...
Es beleuchtet die dunkleren Seiten römischer Existenzen: Den reichlichen Konsum von Wein, den weit verbreiteten Hang zum Glücksspiel und die Neigung zu regelmäßigem Aufenthalt in zwielichtigen Etablissements. Zum Verblüffen des humanistisch gebildeten Lesers befanden sich diese und noch manch andere Verhaltensweisen durchaus in Einklang mit den sittlich-moralischen Normen der römischen Antike. Der mos maiorum bedarf also einer Neudefinition?

Aber lassen wir zunachst einmal diese grundsätzliche Frage beiseite und widmen uns Weebers Buch. In neun Kapiteln mit lateinischen Haupt- und deutschen Untertiteln erhellt der Verfasser dem Leser die finstere römische Nacht. Darüber dass die Nacht in Rom nach Sonnenuntergang tatsächlich vollkommen dunkel war, belehrt das letzte Kapitel des Buches: "ad lychnuchos - Nachtliche Schauspiele im Fackelschein", indem es Illuminierungen von Teilen der Stadt als Ausnahmeereignisse zu besonderen Anlässen vorstellt. Die "technischen Schwierigkeiten und finanziellen Aufwendungen" (S. 145), sicherlich auch die Brandgefahr wiesen ihnen diesen Rang zu.
...
Kapitel:

Michael Wissemann, Wuppertal


Erstellt: 2014-12

"§"
Weeber, Karl-Wilhelm - NüdaR
Neues über die alten Römer
Von A wie Aftershave bis Z wie Zocker

(E?)(L?) https://www.froelichundkaufmann.de/geschichte/altertum-3000-v-500-n-chr/neues-ueber-die-alten-roemer-von-a-wie-aftershave-bis-z-wie-zocker.html

Öffentliche Latrinen ohne Trennwände - wo gab’s denn sowas? Im alten Rom! Überraschendes und Spektakuläres, allemal Wissenswertes zu Alltag, Geschichte, Politik und Wirtschaft verbindet Karl-Wilhelm Weeber zu einem ebenso informativen wie unterhaltsamen Römer-Schmöker. In kurzen Artikeln von A bis Z beantwortet der Autor die neugierigen und durchaus aktuellen Fragen zur römischen Zivilisation, die ihm immer wieder gestellt werden. Gab es eigentlich Verkehrsregeln im alten Rom? Wie funktionierten Polizei und Justiz? Wie gingen die Römer mit Außenseitern, Migranten und Kriminellen um? Was war angesagt? Nahmen die Römer Sonnenbäder, kannten sie Deo und Aftershave? Dazu bietet er Superlative und Rekorde aus unterschiedlichen Lebensbereichen: vom ältesten Menschen bis zu den schlimmsten Naturkatastrophen der römischen Welt. Darüber hinaus geht es um Archäologie und Topographie der Ewigen Stadt, um Magie und Zukunftsforschung.


(E?)(L?) https://www.rhenania.de/index.php?cl=details&anid=721603

Stuttgart 2015, 14,5 x 21,7 cm, 352 Seiten, 60 Abb., pb.


Erstellt: 2020-07

"§"
Weeber, Karl-Wilhelm
Vorsicht Arzt!
Medizin(er)kritisches aus dem Alten Rom
(W3)

(E?)(L?) https://www.froelichundkaufmann.de/kulturgeschichte/vorsicht-arzt-medizin-er-kritisches-aus-dem-alten-rom.html

»Betrug: Falscher Arzt festgenommen!« Heute eine Schlagzeile wert, in der Antike gang und gäbe: Ein jeder konnte sich ganz nach Belieben »medicus« nennen. Dass die römischen Patienten deshalb skeptisch waren, spiegelt sich in vielen Texten, und die Satire schlug zu. Mediziner wurden als Scharlatane, Halsabschneider oder Mörder bezeichnet, man warf Ihnen vor, mit kleinen Wehwehchen Millionen zu scheffeln.

Karl-Wilhelm Weeber hat diese Texte versammelt, ordnet sie in einer Einführung ein und würdigt aber auch die Verdienste der antiken Medizin.


Erstellt: 2025-06

"§"
Weeber, Karl-Wilhelm
Wahlkampf im Alten Rom

(E?)(L?) http://www.altphilologenverband.de/forumclassicum/pdf/FC2007-3.pdf

...
"hic aerarium conservabit", hieß es einst an den Wänden Pompejis im Kampf um die Wählergunst - wem kommt ein solches Programm nicht auch heute noch bekannt vor. Weeber lehrt uns aber sofort an diesem und elf weiteren Beispielen, dass der römische Wahlkampf in der Regel „dramatisch inhaltsleer“ (S. 9) war. Im Vordergrund habe „die Persönlichkeit eines Kandidaten und sein Charakter, nicht seine politischen Vorstellungen“ (S. 8) gestanden. Wie schon dies eine von 195 Dipinti zeigt, die Vf. aus den etwa 2800 in der Stadt am Vesuv erhaltenen ausgewählt hat, führt das Buch mitten ins pralle politische Leben und unterscheidet sich mit seiner lebendigen Anschaulichkeit deutlich und wohltuend von manch anderem Werk, das die Staatstheorie der Antike eher trocken behandelt.

Unter elf Gesichtspunkten gliedert Weeber die Wahlwerbeslogans und führt damit kenntnisreich und unterhaltsam in das erstaunlich lebendige politische Bewusstsein der Bewohner Pompejis und ihre aktive Teilnahme am öffentlichen Leben ein: Einzelne Personen oder Personengruppen wie etwa bestimmte collegia, Nachbarschaftsvereinigungen, ja sogar der ordo sanctus, der Stadtrat, aber auch Frauen, die ja weder im Besitz des aktiven noch des passiven Wahlrechts waren, riefen zur Wahl eines bestimmten Kandidaten auf, der ihnen von seiner Persönlichkeit her geeignet und zuverlässig erschien.
...
Michael Wissemann, Wuppertal


(E?)(L?) http://www.deutschlandradiokultur.de/er-bringt-gutes-brot.954.de.html?dram:article_id=144638

...
Weeber: Überhaupt nicht, im Gegenteil. Der Wahlkampf - sowohl im republikanischen Rom als auch in den kaiserzeitlichen Landstädten, ging ganz klar dahin, dass man sich sehr, sehr deutlich unter das Volk mischte. Ganz wichtig war es, mit einer großen Anhängerschaft auf dem Forum beispielsweise zu erscheinen.

Und wir haben heute ja noch den Begriff des Kandidaten. Das kommt von der auffallenden Kleidung römischer Amtsbewerber, die trugen nämlich die turga candida, die schneeweiße Turga, und das heißt, die fielen schon einfach durch ihre Kleidung auf. Und je mehr man umgeben war, also von Anhängern, von Freunden, je mehr für einen politische Schwergewichte gewissermaßen auch Reklame machten, indem sie sich zusammen zeigten mit einem, umso mehr Würde ging davon aus, und das ist für römische Wähler ein ganz wichtiger Gesichtspunkt.

Heise: Die Würde, Wahlkampf im alten Rom, unser Thema im Radiofeuilleton mit dem Altphilologen und Historiker Karl-Wilhelm Weeber. Herr Weeber, es gab ja auch so eine Art Wahlkampfhandbuch, von Quintus nämlich, dem jüngeren Bruder des berühmten Redners und Politikers Cicero. Was empfiehlt der denn?

Weeber: Im Grunde das, was unsere Kandidaten, wie wir das im Moment erleben, in diesem Wahlkampf besonders tun, nämlich auf Persönlichkeit abstellen, auf Image abstellen und auf keinen Fall konkrete Aussagen zum Wahlprogramm zu tun. Quintus sagt ganz deutlich - wenn er denn der Urheber ist, ganz sicher ist das nicht -, man soll ruhig allen alles in Aussicht stellen, vage bleiben und sich nicht politisch, inhaltlich festlegen. Und gewissermaßen klare Aussagen, klare Ansagen zu tätigen, sei eine Todsünde im Wahlkampf.

Der geht so weit, dass er im Grunde für gnadenlosen Opportunismus plädiert und sagt, du musst dir alle zu Freunden machen, du darfst niemanden verprellen, und sagt an einer Stelle, das eine zeichnet den anständigen Menschen aus, das andere aber den guten Wahlkämpfer.
...


(E?)(L?) http://www.eurobuch.com/buch/isbn/9783491350083.html

Weeber, Karl-Wilhelm:
Wahlkampf im alten Rom.
2007, ISBN: 9783491350083


(E?)(L?) http://www.lovelybooks.de/autor/Karl--Wilhelm-Weeber-/Wahlkampf-im-Alten-Rom-271343497-w/

...
Wie funktionierte eigentlich der Wahlkampf in der Antike? Die Antwort verblüfft: im Wesentlichen so wie heute. Die Kandidaten versuchten sich bei den Wählern durch Lobeshymnen auf ihre Verdienste und durch Versprechen beliebt zu machen.
...


Erstellt: 2014-12

"§"
Weeber, Karl-Wilhelm
Wasser, Wein und Öl
Die Lebenssäfte der römischen Welt

(E?)(L?) http://www.froelichundkaufmann.de/

Darmstadt 2013.

Von Kaiser Augustus nach dem Geheimnis seines langen Lebens befragt, antwortete der 100-jährige Romilius Pollio: »Innen war's der Wein, außen war's das Öl.« Die Anekdote bringt die Bedeutung dieser beiden Lebenssäfte für die Alten Römer auf den Punkt. Und auch als Handelsware war der Wein von Bedeutung: Besonders mit den Germanen konnten römische Weinhändler gute Geschäfte machen. Kein Wunder, dass »Wein« eines der ältesten Lehnwörter im Deutschen ist. Ebenso teilten die Römer ihre hoch entwickelte Wasserkultur mit den besiegten Völkern. Eindrucksvolle Ruinen gewaltiger Thermenbauten und majestätisch aufragender Aquädukte sind überall im ehemaligen Römischen Reich Zeugen einer typisch römischen Einstellung. Neben der zivilisatorischen Bedeutung der römischen »Lebenssäfte« geht Weeber auch auf ihre ökonomischen Aspekte ein. Und erzählt dazu manch kuriose Geschichte zu Wasser, Öl und Wein bei den alten Römern. Der Band ist reich illustriert mit historischen Abbildungen und Fotos.

21 x 27 cm, 160 Seiten, 90 Farbabb., geb.


Erstellt: 2014-02

X

Y

Z