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Cantaloup (W3)
Dt. "Cantaloupe", dt. "Kantalupe", engl. "Cantaloup", engl. "Cantaloupe", frz. "cantaloup", ist die Bezeichnung für eine "Zuckermelonenart". Den Namen erhielt sie nach dem ersten europäischen Anbau bei "Cantalupo", einer vormals päpstlichen Villa bei Rom.
"Cantaloupe" bedeutet wahrscheinlich "Wolfsgeheul" und setzt sich zusammen aus lat. "cantus" = dt. "Gesang" (findet man auch in dt. "Kantor" = dt. "Leiter eines Kirchenchors") und lat. "lupus" = dt. "Wolf".
Also da wo einst die Wölfe heulten, ließen sich vor 2000 Jahren reiche Römer ein paar Villen bauen. Und später nahm es die katholische Kirche in Besitz.
Mindestens eine Quelle bezieht die Bezeichnung "Cantaloupe" allerdings nicht auf die päpstliche Villa bei Rom sondern auf eine Stadt, namens "Cantalupo", in Ligurien, nahe der Grenze zu Frankreich.
(E?)(L?) https://www.cnrtl.fr/etymologie/cantaloup
"CANTALOUP", subst. masc.
Étymol. et Hist. [1703 Bossard d'apr. Dauzat 1973]; 1775 "cantaloupe" (Valm. t. 4, p. 89 : Le petit melon de Florence, ou "cantalupi" ["cantaloupe"]); 1791 "cantaloup" (Filassier, Dict. du jardinier fr. ds Roll. Flore t. 6, p. 41). Mot issu d'un topon.; selon l'hyp. la plus couramment reçue (FEW t. 2, p. 220a) de "Cantalupo", nom d'une localité située près de Rome où cette variété de melon était cultivée; cf. Annales de Flore, 1839, p. 195 ds Roll., loc. cit., p. 42); l'ital. "cantalupo" n'est pas attesté av. le xixes. (DEI).
(E?)(L?) http://www.oedilf.com/db/Lim.php?Word=cantaloup
Limericks on "cantaloup"
(E?)(L?) http://bdl.oqlf.gouv.qc.ca/bdl/gabarit_bdl.asp?t1=1&id=3542
"Cantaloup"
Un "cantaloup" est un melon à la chair orangée, sucrée et parfumée, dont l’écorce jaune verdâtre est côtelée.
"Cantaloup" se prononce généralement [kãtalu] (kan-ta-lou) en français : le "p" final est muet. Le nom de ce fruit viendrait probablement de "Cantalupo", nom d’une ancienne villa des papes située près de Rome, où ce melon était cultivé.
Une autre origine est parfois avancée : il se pourrait également que le fruit ait été nommé d’après le village de "Cantaloup" situé en Languedoc-Roussillon en France. Ce mot est apparu en français au XVIIIe siècle, d’abord sous la forme "cantaloupe", puis "cantaloup" vers la moitié du XIXe siècle.
Au Québec, on emploie ce terme le plus souvent pour désigner un autre type de melon, le melon brodé, qui est beaucoup plus cultivé en Amérique du Nord. C’est peut-être sous l’influence du terme anglais "cantaloupe", lui-même emprunté au français au milieu du XIXe siècle, et employé aux États-Unis pour désigner le melon brodé, que "cantaloup" est employé en ce sens et prononcé [kãtalup] (kan-ta-loupe) au Québec.
Il est à noter que le nom "cantaloup" est masculin.
(E?)(L?) http://bdl.oqlf.gouv.qc.ca/bdl/gabarit_bdl.asp?t1=1&id=2736
"cantaloup" - melon dont la chair est orange
Nom d'origine: "Cantalupo" - villa des papes, près de Rome, où l'on cultivait ce melon
(E?)(L?) http://bdl.oqlf.gouv.qc.ca/bdl/gabarit_bdl.asp?t1=1&id=3738
Mots dans lesquels figurent des consonnes muettes rares en finale
- "b" - Aplomb, plomb, radoub, surplomb
- "c" - Accroc, banc, blanc, caoutchouc, clerc, croc, estomac, escroc, flanc, franc, porc, tronc
- "f" - Bœufs, cerf, clef, nerf, œufs, serf
- "g" - Bourg, coing, étang, faubourg, hareng, harfang, joug, long, poing, rang, sang, shampoing
- "h" - Almanach, aneth, ayatollah, bismuth, bobsleigh, luth, mammouth, schah, vermouth, zénith
- "l" - Fusil, gentil, nombril, outil, persil, sourcil
- "p" - Beaucoup, camp, cantaloup, champ, coup, drap, galop, loup, sirop, sparadrap, trop
- "w" - Bungalow, squaw
- "z" - Nez, raz, riz
(E?)(L?) https://web.archive.org/web/20210508193655/http://projects.chass.utoronto.ca/langueXIX/dg/08_t1-2.htm
§ 12. -- Italien.
Dès le XIIe siècle, sinon plus tôt, la littérature en langue vulgaire de la France a joui d'une grande vogue au delà des Alpes et a servi de modèle aux premiers poètes qui se sont hasardés à composer en italien : c'est ce qui explique que la langue de Dante et de Pétrarque offre certains gallicismes facilement reconnaissables, pour le philologue, sous l'habit toscan (75).
En revanche, comme l'influence de la littérature italienne sur la littérature française a été à peu près nulle jusqu'au XVIe siècle (76), on ne s'étonnera pas que l'ancien français n'ait pour ainsi dire aucun mot d'origine italienne (77). Les premiers emprunts se sont produits au commencement du XIVe siècle, et ils sont dus aux relations commerciales, diplomatiques et militaires qui devinrent plus fréquentes dès lors entre les deux pays. Il est curieux de les suivre à la piste :Enfin, le grand mouvement de la Renaissance, provoqué surtout par les expéditions des Français en Italie, amène une véritable invasion de mots italiens, invasion que l'on peut constater dans toutes les branches de l'activité humaine, mais qui est surtout sensible dans la littérature proprement dite, les beaux-arts (surtout l'architecture et la musique (78)), la guerre et le sport (notamment l'escrime et l'équitation). Les protestations passionnées de Henri Estienne arrêtèrent peut-être un instant l'engouement pour les choses et les mots d'Italie. Mais les emprunts reprirent bientôt, plus rares toutefois, et ils ont continué jusqu'à nos jours. Un millier de mots environ sont ainsi venus s'ajouter à notre vocabulaire. En outre, il ne faut pas oublier que l'italien, concurremment avec le provençal et l'espagnol, a contribué au développement du suffixe "ade" (79), et que nous lui devons le suffixe "esque", § 149, et les superlatifs en "issime", § 589.
- "brigue" remonte à 1314 ;
- "florin" apparaît en 1318,
- "voguer" en 1337 ;
- "brigand", au sens de " fantassin ", est familier à Pierre Bersuire, qui traduit Tite-Live pour le roi Jean vers 1350 ;
- "falot" se trouve en 1371 ;
- "Froissart" se sert de caraque et de bande (troupe) ;
- "ambassade" et "ambassadeur" remplacent définitivement nos anciens mots "ambassée" et "ambasseor" sous Charles VI ;
- Arnoul Greban, qui compose sa Passion avant la mort de Charles VII, emploie "brigade" et "calmer" ;
- Chastellain, mort sous Louis XI, se sert de "banquet" et d'"escade" (pour "escadre") ;
- Commines et Jean d'Authon, qui écrivent sous Louis XII, nous offrent "barde" (selle), "bastion", "cabinet", "enfanterie" ("infanterie"), "révolter", etc.
Liste des mots d'origine italienne
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Cantaloup
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(E?)(L?) https://web.archive.org/web/20220124134413/http://projects.chass.utoronto.ca/langueXIX/dg/09_t1-3.htm
§ 36. - Noms propres devenant noms communs.
Un nom propre peut devenir nom commun, et il le devient par des voies diverses.
Tantôt il passe par une sorte de périphrase où il détermine d'abord le nom commun qu'il doit ensuite remplacer : un fusil Chassepot ; ici le nom propre détermine le nom commun ; puis celui-ci se sous-entend : un chassepot. Tantôt il se transforme immédiatement en nom commun : un barème. Quelquefois il garde sa forme primitive précédée de l'article féminin : coiffure à la Titus ; mais, le plus souvent, la préposition et l'article se sous-entendent : coiffure à la Fontange devient coiffure Fontange, puis une fontange. Enfin l'on voit des adjectifs de noms propres s'employer substantivement : bohémien, gascon, etc.
Les sources de ces noms sont très diverses. Tantôt ils rappellent soit ceux qui ont découvert ou inventé un objet, soit ceux dont le nom, pour une cause ou pour une autre, a été attaché à l'invention ou à la découverte :
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Cantaloup
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(E1)(L1) http://books.google.com/ngrams/graph?corpus=7&content=Cantaloup
Abfrage im Google-Corpus mit 15Mio. eingescannter Bücher von 1500 bis heute.
Frz. "Cantaloup" taucht in der Literatur um das Jahr 1770 / 1820 auf.
Erstellt: 2020-04