Etymologie, Etimología, Étymologie, Etimologia, Etymology, (griech.) etymología, (lat.) etymologia, (esper.) etimologio
FR Frankreich, Francia, France, Francia, France, (esper.) Francio, Francujo
untergegangene Wörter, Archaismen, Arcaísmo, Archaïsme, Arcaismo, Archaism, (esper.) arkaismoj
A
academie-francaise
Mots supprimés de la 9e édition de la Dictionnaire de l'Académie Française
(E?)(L?) http://www.academie-francaise.fr/dictionnaire/supprimes.html
Exemples de mots supprimés au cours de la révision de la huitième édition
- abuseur (XIVe s. ; Acad. 4e)
- académiste (XVIIe s., d’abord au sens de « membre de l’Académie française » (correspondance de Chapelain, 1634) ; Les Académistes, comédie de Saint-Evremond ; supplanté dès 1635 par académicien ; puis au sens de « élève d’une académie », enregistré par Acad. 1ère : « Qui apprend à monter à cheval et autres exercices dans une académie ».)
- accortise (XVIe s. ; Acad. 1ère)
- acenser (XIIIe s. ; Acad. 1ère)
- acerbité (XIVe s. ; Acad. 5e)
- acidule (XVIIIe s. ; Acad. 4e)
- affinerie (XVIe s. ; Acad. 4e)
- aliénisme (XIXe s. ; seulement dans Acad. 8e)
- amatelotage (XIXe s. ; Acad. 6e)
- amusoire (XVIe s. ; Acad. 2 e)
- anastatique (XIXe s. ; Acad. 8e)
- anguillade (XVIe s. ; Acad. 1ère)
- antanaclase (XVIIIe s. ; Acad. 4e)
- apercevance (XIIe s. ; encore bien attesté XVIe s. ; repris Acad. 5e --> peu usité dès 6e.)
- archidiaconat (XVIe s. ; Acad. 1ère)
- architriclin (XIIe s., puis XVe s. ; Acad. 4e)
- arrêtiste (XVIIIe s. ; Acad. 4e ; attesté dans la plupart des dictionnaires généraux du XIXe et du XXe s.)
- assoter (XIIIe s. ; déjà vieilli au XVIIe s. : au participe passé dans Acad. 1ère, le verbe étant réputé sorti de l’usage.)
- atonique (XVIe s. ; Acad. 6e)
- attiseur (XIIIe s. ; Acad. 5e ; attesté dans la plupart des dictionnaires généraux du XIXe s.)
- avénage (XIIIe s. ; Acad. 5e)
- avertin (XIIIe s. ; Acad. 5e + principaux dictionnaires généraux XIXe et XXe s.)
- babillement (XVIe s. ; Acad. 6e ; surtout utilisé en médecine, selon la plupart des dictionnaires généraux du XIXe s.)
- bagues (XVe s. ; Acad. 6e)
- baladinage (XVIIIe s. ; Acad. 5e)
- baliverner (XVIe s. ; Acad. 4e)
- bergerette (XIIIe s., au sens donné par Acad. 8e, enregistré dès 6e ; XVIe s., au sens de « liqueur composé de vin et de miel », enregistré par Acad. 5e.)
- besaigre (XVIIe s. ; Acad. 4e)
- biaiseur, -euse (XIXe s. ; peu usité selon Larousse XIXe s., mais enregistré par Acad. 8e.)
- boquillon (XIIIe s. ; Acad. 4e ; supplanté par bûcheron au XVIIIe s., mais encore attesté en Picardie et en Flandre ; se rencontre chez La Fontaine.)
- brandiller (XIIIe s., intransitivement ; XVIIe s., transitivement ; Acad. 1ère)
- brétailler/brétailleur (XVIIIe s. ; Acad. 4e)
- brocardeur, -euse (XVIe s. ; Acad. 4e)
- cacade (fin XVIe s. ; Acad. 1ère, « plus ordinairement au figuré ».)
- carrelure (XVe s. ; au sens de « bon repas », chez Rabelais, La Fontaine, enregistré par Acad. 1ère : « On dit figurément d’un homme affamé qui a fait un bon repas qu’Il s’est fait une quarreleure, une bonne quarreleure de ventre. »)
- chancissure (XVIe s. ; Acad. 1ère)
- chapechute (XIIe s. ; se rencontre chez La Fontaine ; Acad. 8e seulement)
- chapeler (XIIe s., au sens de « frapper rudement, tailler en pièces » ; XIVe s., au sens donné dans Acad. 8e, enregistré dès 1ère; XIXe s., au sens de « taillader ».)
- charmoie (XIIIe s., comme toponyme ; puis XVIIe s. ; Acad. 4e)
- charnure (XIIe s. ; Acad. 1ère ; emplois littéraires au XIXe et au XXe s. ex. : Georges Duhamel.)
- chipotier, -ière (XVIIe s., chez Furetière ; Acad. 4e)
- chômable (XVIe s., puis Acad. 1ère.)
- chouanner (fin XVIIIe s., sous la Révolution ; se rencontre évidemment chez Balzac, Barbey d’Aurevilly, etc. ; chouan, chouannerie dans Acad. 7e, chouanner seulement dans 8e.)
- clochement (XIVe s. ; Acad. 5e)
- clubiste (fin XVIIIe s. ; club et clubiste seulement dans Acad. 6e.)
- colluder (XVIe s. ; Acad. 1ère ; attesté dans la plupart des dictionnaires généraux du XIXe et du XXe s.)
- collusoire (XIVe s. ; idem.)
- conjouir (se) (Xe s., transitivement, au sens de « recevoir avec courtoisie », puis, fin XIIe s., intransitivement ; XVe s., emploi pronominal --> déjà vieilli au XVIIe s., mais enregistré par Acad. 1ère.)
- conspirant, -ante (XVIIIe s. ; Acad. 5e)
- contre-police ( fin XVIIIe s., sous la Révolution ; se rencontre chez Balzac ; Acad. 8e seulement)
- convertissement (XIIIe s., au sens de « action de transformer une substance en une autre » ; XVIIe s., comme terme de finance, enregistré par Acad. 1ère.)
- convoiteux, -euse (XIIe s. ; Acad. 1ère ; attesté dans les dictionnaires du XIXe s., mais réputé vieilli par Richelet ; se trouve chez La Fontaine.)
- couchée (XIIIe s., au sens de « action de se coucher (en parlant du soleil) » ; XVIIe s., au sens donné par Acad. 8e, enregistré dès 1ère.)
- courte-botte (XVIIIe s., dans Acad. 4e )
- crapoussin, -ine (XVIIIe s. ; Acad. 5e)
- crosseur (XVIIe s., au sens de « personne qui joue à la crosse, qui chasse la balle avec une crosse » , enregistré par Acad. 1ère ; XIXe s., au sens de « querelleur ».)
- curation (XIIIe s.; dans la langue médicale du XVIIe s. --> repris par Molière ; Acad. 4e ; peu usité selon Larousse XIXe s. ; exclu des dictionnaires généraux du milieu du XXe s.)
- délogement (fin XIVe s., en parlant d’une troupe qui lève le camp, quitte son casernement ou son cantonnement d’étape, puis XVIe s., au sens général donné par Acad. 8e et enregistré dès Acad. 1ère, avec la mention : « Il se dit plus ordinairement à l’égard des gens de guerre. »)
- démeublement (XVIIe s. ; Acad. 4e)
- dépopulariser (XVIIIe s. ; Acad. 6e)
- dramatiste (fin XVIIIe s., comme dramaturge ; Acad. 5e)
- duriuscule (XVIIe s., dans Le Malade imaginaire de Molière : « pouls duriuscule », par opposition à capricant ; Acad. 4e)
- ébaudissement (XIIIe s. ; Acad. 4e)
- écraseur, -euse (XVIe s., comme adjectif, en parlant du tonnerre ; début XVIIe s., comme substantif, en parlant d’un mauvais cocher ; seulement dans Acad. 8e, au sens général de « celui qui écrase ».)
- éraillement (XVIe s., en parlant des paupières (cf. ectropion) ; XIXe s., en parlant d’une étoffe et de la voix ; l’Acad. ne connaît que le premier sens, de la 4e à la 8e, qui mentionne le second.)
- ergoterie (XVIe s., première attestation, puis XVIIIe s., dans Trévoux --> remplacé par ergotage ; Acad. 7e : renvoi à ergotage)
- escroqueur, -euse (XVIe s. ; Acad. 1ère)
- ésopique (XVIe s. ; Acad. 8e)
- euphuisme (XIVe s. ; Acad. 8e ; cf. marinisme, gongorisme, etc.)
- exacteur (XIVe s. ; Acad. 1ère)
- fanfan ( début XVIe s. ; Acad. 4e)
- finet, -ette (XVe s. ; Acad. 1ère ; peu usité selon Acad. 6e.)
- friponneau (XVIIe s., dans les Contes de La Fontaine ; Acad. 4e)
- futurition (début XVIIIe s., chez Fénélon, au sens donné par Acad. 8e, enregistré dès 5e ; Acad. 4e : « Ce qui doit arriver. »)
- gaminer (XIXe s. ; Acad. 8e)
- gasconisme (XVIe s. ; Acad. 2e)
- guenuche (XVIIe s. ; Acad. 2e)
- havir (début XIVe s., au sens figuré de « désirer ardemment, brûler de » ; XVIe s., au sens de « brûler, dessécher, hâler » ; XVIIe s., au sens donné par Acad. 8e, et seul enregistré par 1ère.)
- hebdomadier, -ière (XIIIe s. ; Acad. 2e)
- hommagé, -ée/ hommager (XVIe s. ; Acad. 4e)
- ichor/ichoreux, -euse (XVIe s. ; ichoreux, -euse, Acad. 4e, et ichor, 7e )
- imbrisable (XIXe s. ; Acad. 8e)
- immortification/immortifié, -ée (début XVIIe s., chez saint François de Sales ; Acad. 2e)
- impatroniser (s’) (XVIe s., au sens de « s’emparer, se rendre maître d’une ville, d’un pays » ; XVIIIe s., au sens donné dans Acad. 8e ; les deux sens figurent dans Acad. 1ère.)
- imployable (XVIe s., au propre et au figuré ; seulement Acad. 8e)
- incorrigibilité (début XVIe s. ; au XVIIe s., chez le cardinal de Retz ; Acad. 2e)
- indévot , -ote/indévotion (XVe s. ; indévot, substantif, XVIIe s. ; Acad. 1ère)
- indulgencier (XIXe s. ; Acad. 8e)
- larmoyeur, -euse (fin XVIIe s. ; Acad. 7e)
- larroneau (XVe s. ; Acad. 1ère)
-acus- (W3)
Den gallischen Suffix "-acus-" findet man nicht nur in Ortsnamen wie "Antoniacus", sondern auch in abgewandelter Form als "-y-", "-é-", "-ey-", "-ec-", "-ex-", "-ieu-", "-ieux-", "-ai-", "-ay-".
(E?)(L?) https://web.archive.org/web/20220124134413/http://projects.chass.utoronto.ca/langueXIX/dg/09_t1-3.htm
75. -- Suffixe gaulois acus 50
Erstellt: 2010-10
B
bnf.fr
Borel, Pierre
Dictionnaire des termes du vieux françois ou
Trésor de recherches et antiquitez gauloises et françoises
(E?)(L?) http://gallica.bnf.fr/Search?q=bpt6k50465p
Borel, Pierre (1620?-1671)
Dictionnaire des termes du vieux françois ou Trésor de recherches et antiquitez gauloises et françoises (1750)
Date de mise en ligne : 15/10/2007
Livre en mode image seul
(E?)(L?) http://gallica.bnf.fr/Search?q=bpt6k50464b
Borel, Pierre (1620?-1671)
Trésor de recherches et antiquitez gauloises et françoises, réduites en ordre alphabétiqueet enrichies de beaucoup d'origines, épitaphes... (1655)
Date de mise en ligne : 15/10/2007
Erstellt: 2010-10
C
D
E
F
G
google
Langue et littérature des anciens Francs
Von Gérard Gley
(E?)(L?) http://books.google.fr/books?id=KvYvAAAAMAAJ&printsec=titlepage#PPR3,M1
Chap. III, Littérature des Francs, p. 88-262, includes illustrative texts of the Merovingian and Carlovingian periods, and of the first part of the third dynasty, accompanied by French translations.
H
I
J
K
L
langue-francaise
Verlan et gaulois
Par Jean-Pierre Rothschild
(E?)(L?) http://www.langue-francaise.org/Articles_Dossiers/Verlan_gaulois.php
Erstellt: 2010-10
latinistes
La souche gauloise
Mots d'origine gauloise
(E?)(L?) http://www.latinistes.ch/Textes-etymologie/gaulois.htm
...
Mots d'origine gauloise
- alouette (latin : alauda, ancien français : aloe ) (en français au 12ème siècle)
- bâche (latin impérial : bascauda ; anc. fr. : baschoe)
- bâcher
- balai (gaulois : banalto devenu balatno)
- balayer, balayeur, balayage, balayette, balayures
- bec (latin : beccus, indiqué comme gaulois par Suétone)
- bec de gaz, bec de plume, faire des becs, bécasse, bécot, bécoter, becquée, becqueter, béquille.
- bille (de bois, de bilia)
- benne (du latin benna, genre de véhicule, donné comme celtique par Festus)
- bagnole
- blaireau (de bla-ros)
- blé (francique blad, croisé avec le gaulois blato)
- borne (de bodina)
- borné
- bouc (de bucco)
- bouquetin, boucher, boucherie
- boue (de bawa)
- bouleau (du latin betulla, d'origine gauloise selon Pline)
- braguette (du latin braca, de souche gauloise)
- braies (du latin braca, de souche gauloise)
- brasser (de la cervoise; dérivé de braces, sorte d'épeautre, donné comme gaulois par Pline)
- brasserie, brassage, brasseur
- brochet
- bruyère (de bruko)
- budget (de bulga, le sac ou la bourse, donné comme gaulois par Festus. Est passé en Angleterre à la conquête normande au 12ème siècle, et est revenu sous la forme et le sens de budget à l'époque de la Révolution)
- chamois (de camox)
- char (de carrus)
- cheval (de caballum)
- cavalier, cavalerie, cavaler, cavale, chevalet, chevalier, chevalerie, chevaleresque, chevron
- claie (de cleta)
- clayon, clayonnage
- chêne (de cassanos)
- crème (composé tardif de crammen gaulois et chrisma latin)
- crémeux, crémerie, crémière
- creux (de crosus gaulois?)
- creuser, creuset
- décombres (de kombero, carrefour et confluent)
- encombrant, encombrer, encombrements
- drap (de Drappo, nom propre gaulois)
- drapeau, drapper, draperie
- druide (de druida)
- galet (de gallos)
- galette (de gallos)
- galoche (de gallica, dont la semelle épaisse évoque la pierre plate, dont issu de gallos)
- gaspiller (de waspa, nourriture du bétail ou déchet)
- gosier (de gos)
- s'égosiller, dégoiser
- guenilles (de wadana)
- if (de ivos, eburo)
- jaillir (de gali)
- jante (de cambo, courbé)
- déjanté
- jarret (de garra, la jambe)
- jarretière, jarretelles
- javelot (de gabalaccos)
- joue (de gaba)
- en joue, enjoué, gaver
- lande (de landa)
- lie (probablement de liga)
- lotte (de lotta)
- luge (de slodia ?)
- motte (de mutta)
- mouton (de multo)
- pièce (de pettia)
- piécette, dépecer, empiècement, rapiécer
- renfrogné (de frogna)
- ruche (de rusca, l'écorce)
- sapin (latin sap(p)inus, composée de sapp- gaulois et pinus latin)
- souche (de tsukka)
- suie (de sudia)
- talus (de talo, le front, signalé comme gaulois par Pline, qui en fait talutium, le talus)
- tanche (latin du 4ème tinca, d'origine gauloise)
- tanière (de taxonaria, formé sur taxo, le blaireau)
- en Suisse romande, tasson (blaireau)
- tonne (de tonna)
- tonneau (dérivé de "tonne")
- tonnelier, tonnellerie, tonnelle, entonnoir, entonner, tunnel
- trogne (de trugna)
- trou (latin médiéval traugum, probablement d'origine gauloise)
- tanche (de tinca, donné comme gaulois par Ausone)
- vergne ou verne(de verno, l'aulne)
Erstellt: 2010-10
lexilogos.com
Dictionnaire Gaulois
Langue gauloise
Dictionnaire ancien français de la langue romane au français classique
(E?)(L?) http://www.lexilogos.com/gaulois_langue_dictionnaires.htm
Gaulois
Dictionnaire
- dictionnaire gaulois-français
- dictionnaire gaulois par thème
- mots français d'origine gauloise
- dictionnaire gaulois-anglais
- Glossaire gaulois in La langue gauloise, par Georges Dottin (1920)
- Glossaire gaulois in Ethnogénie gauloise, par Roget de Belloguet (1864)
- Les noms gaulois chez César et Hirtius De bello gallico, par Henri d'Arbois de Jubainville (1891)
Langue gauloise
- La langue gauloise, grammaire, textes et glossaire, par Georges Dottin (1920) (ou version Gallica)
- Monuments des anciens idiomes gaulois, textes, linguistique, par Henri Monin (1861)
- Die gallische Sprache : la langue gauloise, par Franz Joseph Mone (1851)
- Celtic inscriptions on Gaulish and British coins : Inscriptions celtiques sur les monnaies gauloises et britanniques, par Beale Poste (1861)
- Glossaire
- calendrier gaulois : la date du jour
Erstellt: 2010-10
M
marronnage, cimarrón (W3)
Als frz. "marronnage" wurde der Status eines flüchtigen Sklaven in den amerikanischen Kolonien bezeichnet. Die Bezeichnung geht zurück auf span. "cimarrón" = "esclave fugitif". Das in Argentinien, Kuba und Peru benutzte Wort bezeichnete ursprünglich ein "ausgewildertes Tier". Das span. "cimarrón" geht weiter zurück auf altspan. "cimarra" = "Gebüsch". Die weitere Herleitung ist unsicher.
(E?)(L?) http://www.africultures.com/index.asp?menu=affiche_article&no=3276
(E?)(L?) http://www.africultures.com/index.asp?menu=affiche_article&no=3919
...
Du point de vue du colon civilisateur, le "marronnage" ne peut être qu'un retour du nègre à la sauvagerie de ses origines (étymologie de "marron": retour d'un animal domestique à la vie sauvage).
...
monblogue
Mots français d'origine gauloise
Man geht davon aus, dass in der heutigen französischen Sprache noch etwa 200-400 Wörter zu finden sind, die auf keltischen, gallischen Ursprung zurück geführt werden können. Dabei handelt es sich im Wesentlichen um Ortsnamen, Pflanzennamen und Wörter des ländlichen, landwirtschaftlichen Lebens und rund um den heimischen Herd.
(E?)(L?) http://marcheur_immobile.monblogue.com/2004/09/03
Mots français d'origine gauloise
"Contrairement à ce que l'on pourrait penser, le vocabulaire français compte peu de mots d'origine gauloise et la liste suivante n'est pas loin d'être exhaustive.
L'origine de certains mots, comme "auvent", "chemise", "savon", "quatre-vingts", "quinze-vingts", etc.. étant contestée, on n'a retenu que ceux dont l'origine gauloise était confirmée. Le sens de certains mots a été précisé dans les seuls cas d'ambiguïté (entre parenthèses) ou de changement de sens (entre guillemets)."
alose (le poisson) | alouette | arpent | balai | banne (ou benne) | barde | bec | bercer | bief | bièvre « castor » | boisseau | bonde | bouc | boue | bouge « besace » | bouleau | bourbier | braies | bran « excrément » | brasser | breuil « champ » | briser | bruyère | cervoise | changer | char | charpente | charrue | chemin | chêne | claie | cloche | combe | craindre | dartre | dru | druide | dune | galet | glaise | glaner | gobelet | if | jante | jarret | javelle | lande | landier « chenêt » | lie | lieue | lotte (le poisson) | marne | mègue « petit-lait » | mine (dans la terre) | mouton | orteil | pièce « morceau » | quai | raie « sillon » | ruche « écorce » | saie « casaque » | sapin | sillon « bande de terrain » | soc | suie | talus | tanche (le poisson) | tanière | tonne « outre, vase » | valet | vassal |
Erstellt: 2010-10
mulâtre, chabin, capre (W3)
Genauso wie es im Deutschen Wörter gibt, denen man den Untergang wünscht, gibt es auch in anderen Sprachen Wörter die keine lobenswerte Vergangenheit haben. So entstanden während der Kolonialzeit viele Bezeichnungen für schwarze Mitmenschen, die dem Tierreich entlehnt sind.
Frz. "mulâtre" = "Mulatte" etwa geht über span. "mulato", span. "mulo" zurück auf lat. "mulus" = "Maultier", Man verglich die Nachkommen eines weißen und eines schwarzen Elternteils also mit dem "Bastard aus Pferd und Esel".
Frz. "chabin" bezeichnete ursprünglich eine Hammelart mit rotem Fell.
Frz. "capre" = "Kaper" geht zurück auf lat. "caprea" = "wilde Ziege", "Reh".
(E?)(L?) http://www.africultures.com/index.asp?menu=affiche_article&no=3918
...
Si l'on se réfère au Code Noir (1685), le code régissant l'esclavage dans les colonies françaises, l'esclave partage le même statut légal que les bestiaux: c'est un bien "meuble" (1). Une fois la poitrine étampée, marquée au fer rouge des initiales du maître, l'esclave est assimilé au bétail de la plantation. Dans les petites annonces des journaux coloniaux, on passe ainsi sans transition, aidé en cela par l'étymologie (2), de la vente d'un "mulâtre" à celle d'un "mulet", du "marronnage" d'un cheval à celui d'un nègre.
...
2. La plupart des termes servant à désigner les différents degrés de métissage renvoient à un animal: "mulâtre" renvoie au "mulet", "chabin" à une variété de moutons à poil roux, "capre" à la "chèvre", etc.
...
N
Nostalgie (W3)
Frz., dt. "Nostalgie" setzt sich zusammen aus lat. "nostos" = "Rückkehr (in die Heimat)" und "álgos" = "Schmerz". Ursprünglich wurde es bildungssprachlich noch als "Heimweh" (also eher räumlich) verstanden. Heute allerdings versteht man es als zeitliche Angabe. "Schmerz" bereitet die Gegenwart. Die Rückwendung bezieht sich auf die Vergangenheit.
(E?)(L?) http://agora.qc.ca/dossiers/Nostalgie
(E?)(L?) http://agora.qc.ca/index/thematique/nostalgie
(E?)(L?) https://www.cnrtl.fr/etymologie/nostalgie
(E?)(L?) https://www.cnrtl.fr/etymologie/nostalgique
(E?)(L?) https://www.cnrtl.fr/etymologie/nostalgiquement
(E?)(L?) http://www.coup-de-vieux.fr/
nostalgie n.f. nostalgie (lat. scientif. "nostalgia", de "nostos" = "retour", et "algos" = "souffrance") Regret attendri ou désir vague accompagné de mélancolie; spleen, vague à l'âme: Il se souvient avec nostalgie de ces années-là.
Catégories: Cinéma | Fripes | Jeux | Musique | Nécrologie | Non classé | Nourriture | Sport | Stars périmées | Technologie | Télévision
(E?)(L?) http://www.franceculture.com/emission-histoire-de-la-nostalgie-14-2006-05-15.html
Histoire de la nostalgie 1/4
Entre bals populaires et racines régionales, sentiment d'appartenance, La nouvelle Fabrique vous propose de réfléchir toute cette semaine à une notion un peu évanescente, qui fait regarder en arrière : la nostalgie. Nous commençons donc ce voyage avec l'excellent Jean Starobinski, interrogé chez lui en Suisse par Emmanuel Laurentin, et qui nous livre ici un peu de son immense savoir ...
15.05.2006 La Fabrique de l'Histoire | 05-06
(E?)(L1) http://www.gutenberg.org/ebooks/19428
(E?)(L?) http://www.gutenberg.org/cache/epub/19428/pg19428.html
Gualdo, Luigi, 1847-1898: Le nostalgie (Italian) (as Author)
(E?)(L?) http://www.liberation.fr/week-end/0101111380-la-nostalgie-de-la-grandeur
La nostalgie de la grandeur
SOLIS René
L'Obscénité démocratique de Régis Debray, Flammarion 96 pp., 12 €
Evidemment, tout ne va pas de soi. A commencer par le titre : l'auteur a beau s'en défendre - «Non ce n'est pas la démocratie qui est obscène ! C'est la scène républicaine qu'il faut sauver de l'obscénité» -, demeure chez lui un vieux fond de méfiance envers un système suspect d'entraver la «puissance» d'un pays. Contre le «modèle scandinave» et son culte de la «simplicité», Régis Debray cultivera toujours la nostalgie de la «grandeur» : «Nous ne tolérons plus d'être représentés par des hommes ou des femmes d'exception, qui pourraient nous hisser un peu trop haut, nous exigeons des sosies à notre taille et semblance.» Ceux qui les cherchent ne manqueront pas de humer des relents réactionnaires dans la prose du «rusé ronchon» ainsi qu'il s'autodéfinit. Où l'on trouvera aussi certains raccourcis osés (tout cela, c'est la faute à Guy Debord), et quelques contre-vérités comme l'assertion fantaisiste sur la «croissante désertion du public dans les salles de théâtre».
...
(E?)(L?) http://logos.muthos.free.fr/etymologie/N.htm
(E?)(L?) http://www.histoire-genealogie.com/spip.php?article1101
La nostalgie a toujours été, et reste, un des ressorts les plus puissants de la littérature et de la poésie. C’est aussi je crois le grand moteur de l’engouement populaire actuel pour la Généalogie.
...
(E?)(L?) http://www.nostalgie.fr/
Hier kann man in alten (vorwiegend) französischen Hits schwelgen.
Nostalgique de la musique d`hier? Écoutez et découvrez Nostalgie. Un site complet où vous trouverez le juke box Top 25 nostalgie, le Hit Parade, des chroniques et plus!
(E?)(L?) http://www.prix-litteraires.net/prix/691,prix-pj-redoute-prix-nostalgie.html
Prix P.J. Redouté - Prix Nostalgie
2005 Cicely Mary Barker, Pierre Dubois Le jardin féérique (Hoëbeke)
Erstellt: 2010-12
O
P
pagesperso-orange
Mots français d'origine gauloise
(E?)(L?) http://pagesperso-orange.fr/l.maison/etymo/idxg0.htm
gaulois (langue celtique de France et du Nord de l'Italie actuels)
index a >>>>> z
barro | bêber | bûcco | cambo | dunum | eburo | garrâ | grava | jura | karros | landa | lann | leuka | lotta | Lug | medio | multo | novio | rica | sappus | stannum | talo | taxô | tonna 1 | tonna 2 | tonna 3 | tsûkka | ver-
Erstellt: 2010-10
Patache
Patachon (W3)
"Patache" ist - nach Bernard Pivot - ein im Untergehen begriffener Begriff. Das Wort wanderte aus Spanien nach Frankreich ein und bezeichnete einen unbequemen kurzen (Post-)Bus, den Landbewohner gegen einen kleinen Obolus benutzten, um ins nächste Dorf zu kommen. "Patache" kann später dann auch ein altes, unbequemes Auto oder sogar eine Flugkiste bezeichnen. Der Fahrer eines solchen Busses hiess "Patachon" und "la vie de patachon" ist sicherlich nicht das angenehmste Leben.
Während "Patache" vielleicht wirklich in Vergessenheit gerät, wird "Patachon" in den Stummfilmpionieren "Pat und Patachon" sicherlich noch eine Zeit lang im Kollektiven Gedächtnis bleiben.
Die beiden feierten in ganz Europa riesige Erfolge und wurden in unzähligen Ländern berühmt - in Deutschland und Österreich als "Pat & Patachon", in Skandinavien als "Fy og Bi", in den Niederlanden als "Watt en 1/2 Watt", in Frankreich als "Doublepatte et Patachon", in Grossbritannien als "Long & Short" (beachte: "Patachon" ist ein kurzer Bus) und in Schweden als "Telegrafstopen och Tilhengern."
Von der Filmgeschichte wird dieses Duo viel zu wenig beachtet, waren sie doch das einzige Duo, das in Europa die Komödie während des Stummfilms pflegte (wenn man von den Einzelkomödianten Max Linder und Karl Valentin absieht).
Als Schöpfer des legendären Duos gilt der Regisseur Lau Lauritzen (1878-1938). Von 1914 bis 1919 arbeitete er bei der Nordisk Film Compagni und drehte in dieser Zeit die unglaubliche Anzahl von über 200 Filmen (meist à 20 Minuten).
In ihrem zweiten britischen Film spielten "Pat und Patachon" auch tatsächlich ein Autobusfahrerduo, das sich um den Aufbau eines eigenen Transportunternehmens bemühte.
Der malende "Patachon", der noch im Netz zu finden ist, scheint in die Fusstapfen des durchs Leben stolpernden "Patachons" zu treten. Aber die Spur ist schon derart ausgetreten, dass es wahrlich kein Kunststück mehr ist, diesem Weg zu folgen.
(E?)(L?) http://www.cyranos.ch/pata-d.htm
(E?)(L?) http://www.filmevona-z.de/filmsuche.cfm?sucheNach=Regie&wert=7399
(E?)(L?) http://www.steffi-line.de/Bildergalerie/Nostalgie2/15_patachon.htm
(E?)(L1) http://www.thefreedictionary.com/Patache
Pa`tache´ - n. 1. (Naut.) A tender to a fleet, formerly used for conveying men, orders, or treasure.
(E?)(L?) http://www.uni-oldenburg.de/kunst/mediengeschichte/pat/pat/
(E2)(L1) https://web.archive.org/web/20210419192416/http://projects.chass.utoronto.ca/langueXIX/dg/08_t1-2.htm
(E?)(L3) http://perso.wanadoo.fr/ligerien.christian/LA%20PATACHE.htm
La "patache", est le nom du bateau désaffecté des douaniers chargés de la surveillance du fleuve et surtout du transport du sel.
Erstellt: 2004-06
Q
R
S
skynet
Mots français d'origine gauloise
(E?)(L?) http://users.skynet.be/sky37816/Mots_gaulois.html
Mots français d'origine gauloise:
| ajonc | alise | alize | alose (poisson) | alouette | alpe | ambassade | ardoise | arpent | aven | bâche | bachelier | balai | bal(l)e (céréal.) | banne (ou benne) | barde | barre | battre | bauge | bec | ber(s) | bercer | berge | bief | bièvre (castor) | bille (de bois) | blé | boisseau | boiton | bonde | bondelle | borne | bouc | boue | bouge (besace) | bouleau | bourbe | bourbier | braguette | brai | braies | bran, bren | brasser | breuil (champ) | brin | brio | briser | bruyère | caboulot | caillou | cervoise | chamois | changer | char | charançon | charpente | charrue | chemin | chêne | chétif | cheval | claie | cloche | combe | cormier | craindre | cran | crave | crème | créner | creux | daraise | dard | dartre | décombres | douve (ver) | draine (oiseau) | drap | drèche | dru | druide | dune | écobuer | encombrer | érable | étain | fragon | gaillard | galerne | galet | galoche | garrot (encolure) | gaspiller | gaver | givre | glaise | glaner | gobelet | gober | gord | gosier | grève | guenille | habiller | if | isard | jable | jabot |
| jaillir | jante | jaro(u)sse | jarret | javart | javelle | javelot | joue | lande | landier | lantanier | lause (ou lauze) | liais (pierre) | libage | lie | lieue | limande | limon (brancard) | lise | loche (poisson) | losange | lo(t)te | luge | magouille | maint, maintes | marne | masque | matras | mégot | mègue (petit-lait) | mine (métal) | motte | mouton | noue | orteil | parc | patte | pièce | | raie (sillon) | renfrogner | ruche | sagum | saie | sapin | séran | sillon | soc | sotch | souche | soue | suie | sylphe | tacon | taloche | talus | tamis | tan | tanche | tanière | tarière | tomme | tonne | tonneau | touque | trogne | trou | truand | valet | vandoise | vanne | vassal | vavasseur | vélar | vergne | vergobret | virole | vouge |
Erstellt: 2010-10
T
Tire-laine, Tire-cuir, Robe, Garderobe, tirer (W3)
Die "tire-laine" (m., invariable) waren Banditen, die den Adligen die Mäntel stahlen (frz. "tirer" = "ziehen", "reissen"), die meist aus Wolle (frz. "laine" = "Wolle") waren. Heute kommt das kaum noch vor. Wenn, dann werden heute Ledersachen eigefordert, was zum Beispiel auf manchen Schulhöfen durschaus praktiziert wird. Der franz. Schriftsteller Bernard Pivot schlägt deshalb einen neuen Begriff "Tire-cuir" vor.
Interessanterweise gibt es im Deutschen eine ähnliche Wortbildung. Die Entwicklung lief jedoch umgekehrt. Dort war die "Robe" ursprünglich das "geraubte Kleidungsstück" (germ. "rauba" = "Raub", "erbeutete Rüstung"). Später wechselte es dann die Fronten und wurde zum Kennzeichen der Gerichtsbarkeit. Spätestens dann dürfte dann auch die "Garderobe" (frz. "garde-robe") eingeführt worden sein, die dann im Deutschen etwa seit dem 17.Jh. auf die geraubten Kleidungsstücke aufpasste (frz. "garde" = "Verwahrung", "Bewachung").
Weiter zurückgehend hat man sogar einen Bezug zur Wolle. Das altnord. "ryja", das weiter auf indg. "*reu" = "reissen", "rupfen" zurückgeführt wird, heisst soviel wie "den Schafen die Wolle ausrupfen".
Und um noch mal auf das frz. "tirer" zurückzukommen: Die Experten sind sich zwar noch nicht ganz einig. Einer der vielen Erklärungsversuche führt es auf ein pers. "tir" = "jeune recrue" = "junges Mitglied", "Rekrut" zurück. Die favorisierte Erklärung ist jedoch ein ger. "*teran" = "abreissen", "losreissen" (vgl. "zerren").
Ganz schön ruppig diese Wortgeschichte.
Erstellt: 2004-06
U
Uni Chicago - Ancien
Laboratoire de Français Ancien
Textes de Français Ancien
(E?)(L?) http://www.lib.uchicago.edu/efts/ARTFL/projects/TLA/restricted/LFA.search.html
Allerdings:
(E?)(L?) http://www.lib.uchicago.edu/efts/ARTFL/newhome/subscribe/
Subscription Details
Uni Laval
La langue gauloise
(E?)(L?) http://www.tlfq.ulaval.ca/axl/monde/langues_celtiques.htm
...
Dès lors, le gaulois a commencé à se fondre avec le latin et à l'influencer phonétiquement entre le IVe et le VIe siècle de notre ère. Néanmoins, le gaulois a laissé une centaine de mots (surtout de la flore et de la faune) au français: "cheval", "chat", "mouton", "bouc", "daim", "alouette", "pinson", "coq", "jars", "brochet", "branche", "brin", "chêne", "caillou", "joue", "cul", "bec", "jarret", "gigot", "jambe", "gober", "aller", "chemin", "tonneau", "charrue", etc. Au moment où le gaulois n’était plus parlé (au Ve siècle), des peuples celtes s'établissaient en Bretagne à partir des îles Britanniques. C’est cet apport extérieur qui a assuré la présence d'une langue celtique, le breton, sur le territoire français.
...
Erstellt: 2010-10
Uni Toronto
Gaulois - Mots Gaulois
(E?)(L?) https://web.archive.org/web/20210508193655/http://projects.chass.utoronto.ca/langueXIX/dg/08_t1-2.htm
§ 3. -- Gaulois.
Nous connaissons environ quatre cent cinquante mots gaulois, soit par le témoignage de divers auteurs latins et grecs, soit par celui des rares inscriptions conservées ou des glossaires. De ce lexique déjà si restreint, une très minime partie seulement a survécu en français. Une fois la Gaule incorporée à l'empire romain, les Gaulois ont vite oublié leur langue pour apprendre le latin. Si le lexique gaulois n'a pas complètement disparu, c'est que, d'une part, le rôle important joué par la Gaule dans les destinées de Rome a pu mettre à la mode dans la société romaine quelques mots qui se sont vite incorporés au latin proprement dit, et que, de l'autre, les Gaulois romanisés ont continué à se servir, tout en parlant latin, de mots indigènes pour désigner certains objets qui leur étaient familiers et qui, sans doute, n'avaient pas de nom exactement correspondant dans cette langue. De toute façon, les mots d'origine gauloise ont revêtu la forme latine, et c'est sous cette forme que nous allons en dresser la liste par ordre alphabétique.
- alauda, alou(ette).
- ambactum (2) ambass(ade).
- arependem (3), arpent.
- bascauda, anc. franç. baschoe, vaisseau pour transporter la vendange, et peut-être bâche (4).
- beccum, bec.
- benna, banne.
- bettonica, bétoine.
- betullum (5),boul(eau).
- braca, braie.
- brace, brais.
- brogilum, breuil (taillis).
- bulga, bouge (sac).
- cambiare, changer.
- carpentum, charpent(ier).
- carruca, charrue.
- carrum,char.
- cervesia, cervoise.
- cuculla,coule.
- hrotta, rote (instrument musical).
- Leuca, leuga, lieue.
- marga, marne (de margula).
- saga, saie.
- saponem (6), savon.
- vertragum, vautre.
- vidubium, vouge.
A ces mots, dont la provenance gauloise est assurée, on peut en ajouter d'autres, pour lesquels elle est très vraisemblable :
- alausa, alose.
- bebrum (7),bièvre.
- bodina (8), borne.
- cassanum (9),chêne.
- cleta (10), claie.
- comber- (11), (dé)combre.
- cumba (12), combe.
- glitia, glaise.
- grava, grève.
- gulbia (13), gouge.
- landa, lande.
- olca, ouche.
- soccum (14), soc.
- tannum (15), tan.
- taratrum, tarière.
- tinca, tanche.
- tunna, tonne.
- vassallum, vassal.
- vernium, vergne.
- viriola, virole.
Il existe beaucoup d'autres mots que l'on a cherché, faute de mieux, à rattacher au gaulois. Nous nous bornerons à énumérer ceux pour lesquels cette origine n'est pas absolument invraisemblable, en renvoyant à ce qui en a été dit dans le corps même du Dictionnaire.
- balai (16)
- barge (17) (barque),
- berge,
- bille (partie d'un arbre, bâton).
- bouc (18),
- brailler,
- braire,
- bran,
- briser,
- broder,
- bruire,
- bruyère,
- chemin,
- dartre (19),
- drille (lambeau),
- droue (20),
- dru,
- dune (21),
- écagne,
- écanguer,
- galet, jalet (22),
- glette,
- gobet,
- if,
- jarousse,
- jarret,
- javelle (23),
- javelot (24),
- lie (sédiment),
- matras (25),
- mauvis (26),
- mignon,
- miner,
- musser (27),
- petit,
- pièce,
- poche,
- refrogner,
- rogue (hautain),
- ruche,
- tamis,
- trâle,
- trogne,
- truand,
- valet,
- vanne.
Notes
- 1. Les mots disparus de la langue populaire, surtout ceux qui sont relatifs aux institutions, peuvent reparaître sous la plume des savants modernes : tel est le cas pour bardus, barde, druida, druide, sylphus, sylphe, etc. Les historiens disent sans scrupule ambacte, soldurien, vergobret, d'après ambactus, soldurius, vergobretus, etc. Mais ces mots, pour n'être plus terminés en us ou en a, en sont-ils plus français ?
- 2. Le même radical se retrouve dans les langues germaniques ; mais comme ambactus est déjà employé par Ennius, il est à croire que le latin a reçu ce mot des Gaulois de la Gaule Cisalpine.,
- 3. Les textes de l'antiquité ne donnent que arepennem, aripennem, mais le français arpent suppose arependem. (Cf. l'espagnol arapende.)
- 4. C'est M. G. Paris qui a donné l'étymologie de baschoe, conservé par quelques patois actuels sous la forme bachoue, et cette étymologie est assurée. Quant à l'explication de bâche et de l'italien vasca (d'où le français emprunté vasque) par une forme gauloise bascauda ou vascauda qui aurait eu l'accent tonique sur la syllabe initiale, M. G. Paris ne la présente que comme une hypothèse. (V. Romania, xxi, p. 401 et suiv.)
- 6. Le mot est peut-être germanique. (Cf. § 6.)
- 7. Le radical bebr- se trouve à la fois en germanique et en celtique ; le mot proprement latin est fiber.
- 8. M. Thurneysen (Keltorom., p. 91) rattache à cette forme primitive l'ancien irlandais buden, partie d'un corps d'armée.
- 9. La forme du radical est assurée par le provençal cassanh, de *cassanium. L'ancien français a quelquefois chasne, qui représente exactement *cassanum ; la forme chaisne, d'où le français actuel chêne, paraît due à l'influence de fraxinum, frêne, qui a transformé *cassanum en *caxanum.
- 10. Grégoire de Tours emploie le diminutif *cletella.
- 11. M. Gaston Paris a montré que le radical de encombrer était bien distinct de celui de combler (Romania, XXIII, p. 243), et M. Meyer-Lübke en a rendu plus que vraisemblable l'origine celtique (Zeitschrift für romanische Philologie, XIX, p. 275).
- 12. On rapproche aussi ce mot du grec (gr= kumbê), vase creux, barque.
- 13. Telle est la leçon (et non *gubia) des bons manuscrits d'Isidore de Séville, laquelle semble confirmée par l'existence dans le celtique d'un radical gulb, de sens analogue. L'ancien français goi, aujourd'hui gouet, ne peut s'expliquer que par *gubium, forme qui n'est peut-être qu'une simple variante dialectale, car Végèce emploie gubia (et non gulbia) au sens d'instrument tranchant.
- 14. Mot différent du latin *soccum, sorte de chaussure. On a supposé que besoche pouvait venir d'un type *bisocca, formé avec la particule bis et le radical de soc. (Cf. le néologisme bissoc.)
- 15. Radical commun au germanique et au celtique.
- 16. D'après M. Thurneysen (Keltorom., p. 89), le breton balaen est emprunté du français, et le français balai n'a rien à voir avec le breton balannen, genêt, dont la forme primitive est banazl, banadl.,
- 17. M. Thurneysen (Keltorom., p. 43) admet comme possible l'existence d'un mot celtique barga, distinct du bas latin barca.
- 18. Le radical bucc-est commun au celtique et au germanique.
- 19. M. Horning (Zeitschrift für romanische Philologie, XX, 86) considère dartre, autrefois dertre, comme une altération de *erte, *ertre, du latin herpetem, herpès.
- 20. En breton dreok, en gallois drewg. (Cf. Ernault, dans Revue celtique, V, 218).
- 21. Comme ce mot est particulier à la région française voisine des pays flamands, il est vraisemblablement emprunté de l'ancien néerlandais dune (aujourd'hui duin en hollandais), qui se rattache au celtique dunum, hauteur.
- 22. L'ancien irlandais a gall, pilier de pierre (Thurneysen, Keltorom., p. 100).
- 23. Du radical gab-, saisir, qui se retrouve peut-être dans gabelle, que le français a emprunté du provençal.
- 24. Du radical gabal, pointe fourchue.
- 25. M. Thurneysen admet comme possible l'existence en celtique d'une variante *mattara, à côté de matara, seul attesté (Keltorom., p. 107).
- 26. M. Thurneysen (Keltorom., p. 107) n'ose pas décider si le breton milvit, qui a le même sens, est indigène ou emprunté du bas latin.
- 27. Radical mûc- (Thurneysen, Keltorom., p. 108).
Erstellt: 2010-10
V
W
wikipedia
French words from Celtic languages
(E?)(L?) http://en.wikipedia.org/wiki/French_language
...
It is estimated that 12% (4,200) of common French words found in a typical dictionary such as the Petit Larousse or Micro-Robert Plus (35,000 words) are of foreign origin (where Greek and Latin learned words are not seen as foreign). About 25% (1,054) of these foreign words come from English and are fairly recent borrowings. The others are some 707 words from Italian, 550 from ancient Germanic languages, 481 from other Gallo-Romance languages, 215 from Arabic, 164 from German, 160 from Celtic languages, 159 from Spanish, 153 from Dutch, 112 from Persian and Sanskrit, 101 from Native American languages, 89 from other Asian languages, 56 from other Afro-Asiatic languages, 55 from Slavic languages and Baltic languages, 10 from Basque and 144 (about 3%) from other languages.[49]
...
Erstellt: 2010-10
X
Y
Z
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A
B
Baldinger, Kurt
Dictionnaire étymologique de l'ancien français (DEAF)
Gebundene Ausgabe: 136 Seiten
Verlag: Niemeyer, Tübingen (2000)
Sprache: Französisch
(E?)(L?) http://www.niemeyer.de/mcgi/shop/produkt2.cgi?aref=149
Complément bibliographique
Redigé par Frankwalt Möhren
Das "Complément bibliographique" ist der erste Teil der vollständigen Bibliographie des DEAF. Diese wird alle im DEAF verwendeten Sigel der Primär- und Sekundärliteratur erklären. Einmal fertiggestellt, wird sie die gesamte altfranzösische Literatur verzeichnen mit allen Ausgaben und sprachwissenschaftlich relevanten Studien und lexikologischen Werken. Verweise und Register erschließen die Information (Textdatierung, Lokalisierung, Handschriften mit Datierung, korrespondierende Abkürzungen anderer Werke, etc.).
ISBN : 3-484-50172-3
1993. XIX, 319, 47* Seiten. Gebunden
120,00 €
Sprache: Französisch
Broschiert - 420 Seiten - Niemeyer, Tübingen
Erscheinungsdatum: 1997
Auflage: 1997-2000
Klappentext
Der DEAF wird den gesamten Wortschatz des französischen Sprachgebiets einschließlich der regionalen Varianten von den ältesten französischen Sprachdenkmälern bis zur Mitte des 14.Jahrhunderts in allen seinen Bedeutungen und semantischen Nuancen erfassen und ihn etymologisch und sprachgeschichtlich in die Geschichte des französischen Wortschatzes und darüber hinaus in die Geschichte der romanischen Sprachen einordnen. Jeder Artikel umfaßt (mit zahlreichen Textbelegen) eine etymologisch zusammengehörige Wortfamilie mit allen Abteilungen und Zusammensetzungen. Mit dem vorliegenden Faszikel beginnt der Buchstabe H; der Buchstabe G liegt inzwischen vollständig vor (10 Faszikel und ein Index-Band ).
(E?)(L?) http://www.niemeyer.de/mcgi/shop/produkt2.cgi?aref=142
Buchstabe G
Publiés sous la direction de Frankwalt Möhren
Le "DEAF" est un ouvrage fondamental de recherche qui traite le lexique ancien français de façon exhaustive. Il couvre le français de ses débuts (Serments de Strasbourg 842) jusqu'au milieu du XIVe siècle, dans toute son extension diatopique (de l'anglo-normand jusqu'aux écrits produits en Italie du Nord et en Terre Sainte), sur la base des textes littéraires et non-littéraires et les glossaires anciens. Il classe le vocabulaire ancien français par familles étymologiques et le place dans l'histoire du français et des langues romanes. Il atteste et localise toutes les variantes graphiques de chaque mot et il en analyse le sémantisme, en datant, localisant et attestant par une série de renvois les sens dont chacun est illustré par au moins un contexte. Le "DEAF" exploite toutes les sources primaires, secondaires et tertiaires disponibles - manuscrits, éditions, glossaires, dictionnaires à attestations et dictionnaires étymologiques. Sa recherche étymologique est ancrée dans sa recherche philologique préalable. Toutes les données présentées proviennent directement des sources primaires.
La critique des sources est explicitée. Le "DEAF" remplace Godefroy dans sa partie consacrée à l'ancien français et le Tobler-Lommatzsch (sauf pour le corps de leurs attestations supplémentaires) et il supplante à certains égards le "Französisches Etymologisches Wörterbuch".
Les familles des lemmes à G (10 fascicules) et à H (5 fascicules) sont publiées, à tout leurs dérivés préfixés et suffixés, et leurs composés, de même que la "Bibliographie 1993", l'"Index G" et l'"Index H".
ISBN : 3-484-50082-4
1974-1995. XII, 934 Seiten. Geheftet
Insgesamt 10 Faszikel
299,00 €
(E?)(L?) http://www.niemeyer.de/mcgi/shop/produkt2.cgi?aref=144
Index G
Bearb. v. Martina Fietz-Beck
Die Indices (mit 11.000 Einträgen) erschließen die gesamten Materialien des Bandes G (g - gyri): 1.) die altfranzösischen Titelwörter und Ableitungen mit allen graphischen Varianten; 2.) alle akzeptierten oder auch nur in die Diskussion einbezogenen Etyma; 3.) alle zitierten romanischen (it., sp., etc.) und nichtromanischen (engl., deutsch, etc.) Wortformen einschließlich verwandter und aus dem Französischen übernommener Formen. Für die Benutzung des nach Wortfamilien gegliederten Wörterbuches sind die Indices unerläßlich, da nur die Titelwörter der alphabetischen Ordnung folgen. Dank der Markierung der Skriptae auch für dialektologische Untersuchungen geeignet.
ISBN : 3-484-50164-2
1997. IX, 238 Seiten. Gebunden
74,00 €
(E?)(L?) http://www.niemeyer.de/mcgi/shop/produkt2.cgi?aref=146
Buchstabe H
(E?)(L?) http://www.niemeyer.de/mcgi/shop/produkt2.cgi?aref=3712
Index H
Bearb. v. Sabine Tittel
(E?)(L?) http://www.niemeyer.de/mcgi/shop/produkt2.cgi?aref=3839
Buchstabe I
(E?)(L?) http://www.niemeyer.de/mcgi/shop/produkt2.cgi?aref=4202
Fascicule J 1
(E?)(L?) http://www.niemeyer.de/mcgi/shop/produkt2.cgi?aref=4203
Fascicule J 2
C
D
Duchesne, Alain
Leguy, Thierry
Dictionnaire des mots perdus
Broché: 286 pages
Editeur : Larousse (1 juin 1999)
Collection : Le Souffle des Mots
Duchesne, Alain (Auteur) / Leguay, Thierry (Auteur)
Saute, paillasse
Les sens cachés des mots de la langue française
Broché: 285 pages
Editeur : Larousse (1 octobre 2004)
Collection : Le souffle des mots
Langue : Français
Présentation de l'éditeur
Sous les mots les plus usuels se cachent parfois des sens surprenants, oubliés ou insoupçonnés. Sait-on encore qu'un bouquin cache un vieux bouc, un camion une petite épingle, un sommier un cheval de somme ou que paillasse peut désigner un homme politique prompt à changer d'opinion selon son intérêt ? Partis à la recherche de ces sens cachés, Alain Duchesse et Thierry Leguay ont joué les archéologues, explorant les dictionnaires d'antan, en particulier le Littré et le Nouveau Larousse illustré, et pimentant leur collecte de gravures anciennes d'objets au nom insolite, telle la cocasse, qui était une sorte de bouilloire, ou la polka, un marteau utilisé pour la taille des pierres. De l'image au texte, d'anecdotes en citations d'auteur, l'ouvrage nous offre une jolie moisson de ces mots à double ou triple fonds patinés par le temps et malmenés par l'histoire !
Duchesne, Alain / Leguy, Thierry
Turlupinades & Tricoteries
Dictionnaire des mots obsolètes de la langue française
Larousse
286 Seiten
E
F
G
Gastal, Pierre (Auteur)
Sous le français, le gaulois
Histoire, vocabulaire, étymologie, toponomie
Broché: 222 pages
Editeur : Le Sureau (6 mars 2003)
Langue : Français
Présentation de l'éditeur
Histoire - Vocabulaire - Étymologie - Toponymie
Parlons-nous gaulois sans le savoir ? La question peut surprendre mais elle s'impose : pas une phrase de français courant qui ne contienne un mot d'origine gauloise ! De nombreux termes quotidiennement employés proviennent de racines celtiques et les noms de nos villes, villages ou lieux-dits, dérivent souvent du parler celte. Avec près de mille entrées d'index.
"Sous le français, le gaulois" permet à chacun de trouver dans son nom, sa ville, son village ou son activité, quelques racines gauloises oubliées, parfois inattendues, issues d’une civilisation qui - faut-il le rappeler ? - faisait l’admiration des Romains. Enseignant, passionné par la langue et la civilisation gauloises, Pierre Gastal est sensible à l’indifférence des Français pour leurs racines celtiques et son ouvrage a un double objectif : redécouvrir nos ancêtres et rendre aux Gaulois ce qui appartient au gaulois.
Commentaire sur le livre
De nombreux termes proviennent de racines celtiques et les noms de nos villes, villages ou lieux-dits, dérivent souvent du parler celte. Grâce à près de mille entrées d'index, cet ouvrage permet à chacun de trouver dans son nom, sa ville, son village ou son activité, quelques racines gauloises oubliées, parfois très inattendues...
Erstellt: 2010-10
Girerd, Laurent (Autor)
80 jeux charmants sur les mots d'Antan
Taschenbuch: 96 Seiten
Verlag: Larousse (6. Oktober 2010)
Sprache: Französisch
Présentation de l'éditeur
Vous aimeriez savoir ce qui se cache derrière des mots étonnants comme "crapoussin", "zorille" ou "carabistouille" ?
Vous mourez d'envie de piéger vos amis les plus érudits ?
Sésame de ces trésors cachés de la langue française, ce livre vous offre 80 QCM énigmatiques pour vous plonger dans le charme désuet des mots oubliés tout en vous amusant.
Biographie de l'auteur
Sous la direction du Pr Jean-Pierre Wainsten (professeur associé de médecine générale), une équipe de 23 spécialistes éminents (Pr Frydman, Pr Duboc, etc.) et 5 journalistes médicaux.
Erstellt: 2011-09
H
I
J
K
L
Le français retrouvé 06
Lagane, René
Locutions et proverbes d'autrefois
Vergangene Ausdrucksweisen.
Langue : Français
Éditeur : Belin (31 décembre 1985)
Format : Broché - 204 pages
Recueil de stéréotypes attestés dans des ouvrages français du 18e siècle, c'est-à-dire de locutions à caractère figé, figurant dans la première édition du "Dictionnaire de l'Académie française" ou dans les "Curiosités françaises" d'Antoine Oudin, et rangées à notre pratique linguistique d'aujourd'hui. Une première partie, p. 8-43, propose un regroupement d'expressions par thèmes: la vie, la mort - Beauté, Hideur - Beaucoup, peu, rien - etc. Un dictionnaire suit, p. 45-194; les expressions y sont rassemblées par ordre alphabétique de leur mot principal: tison, toile, toilette, tomber, etc. Chaque expression est "traduite" en français moderne. Index complémentaire de renvois.
(E1)(L1) http://www.editions-belin.com/csl/result.asp?search=Le français retrouvé
Le français retrouvé 23
Courtois, Martine
Les mots de la mort
Langue : Français
Éditeur : Belin (11 octobre 1991)
Format : Broché - 412 pages
Essai à caractère terminologique autour de quinze regroupements thématiques en relation avec la mort. En un texte suivi, et en y intégrant des extraits de textes littéraires, l'auteure présente des observations variées d'ordre historique, culturel, linguistique et étymologique. Index d'environ 2000 termes.
(E1)(L1) http://www.editions-belin.com/csl/result.asp?search=Le français retrouvé
Le français retrouvé 29
Brunet, Sylvie H.
Les mots de la fin du siècle
Langue : Français
Éditeur : Belin (3 avril 1996)
Format : Broché - 254 pages
Recueil d'expressions branchées, de néologismes, de clichés et autres tics et travers les plus utilisés en cette fin de siècle. Chaque mot ou expression est analysé dans son contexte, avec citations à l'appui. Un panorama assez représentatif de l'évolution récente du français.
(E1)(L1) http://www.editions-belin.com/csl/result.asp?search=Le français retrouvé
M
N
O
P
Pivot, Bernard
100 mots à sauver
(E?)(L?) http://www.morgenwelt.de/kultur/010305-bernardpivot.htm
(E?)(L?) http://www.chez.com/ect/pivot.htm
(E?)(L?) http://www.tv5.org/TV5Site/lf/langue_francaise.php
(E?)(L?) http://www.tv5.org/TV5Site/dictee/dictee.php
erschienen im Verlag "Albin Michel" (FR).
Nicht nur der deutschen Sprache gehen Wörter verloren, auch die französische Sprache ist vergesslich. Bernard Pivot, fast eine Institution in der französischen Literaturszene, hat ein kleines Buch geschrieben, um 100 dieser vergänglichen Wörter dem Vergessen zu entreissen, oder ihnen zumindest einen würdigen Abgang zu verschaffen. Er geht dabei davon aus, dass Wörter, die nicht mehr in die Standardwerke "Petit Larousse" und/oder "Petit Robert" aufgenommen werden, schon fast dem Untergang geweiht sind. (Wer hat schon das Interesse sich die grösseren Brüder (grand) "Larousse" bzw (grand) "Robert" ins Regal zu stellen.) Seine vielfältigen Aktivitäten rund um die französische Sprache - er hat dem französischen Volk auch in die Feder diktiert - haben seinen Blick auch auf die Veränderungen derselben gerichtet.
Und so hat er dieses 130-seitige Buch geschrieben, in dem jedem dieser Worte etwa eine Seite gewidmet ist. Jedes Wort ist kurz erklärt und mit einem Zitat aus der Literatur versehen. Zu einigen Begriffen findet man auch detailliertere Hinweise zur Wortgeschichte. Und fast zu jedem Wort gibt es noch einen kleinen "Hep!" einen Blick ins Umfeld des Wortes. Und dabei werden auch noch ein paar zusätzliche Wackelkandidaten erwähnt.
Folgende Wörter hat sich Bernard Pivot vorgenommen:
Argousin | Atour | Babillard, Babillarde | Badauderie | Bailler | Bancroche | Barguigner | Bath | Béjaune | Billevesée | Brimborion | Brocard | Brune | Cagoterie | Capon, Caponne | Carabistouille | Caraco | Cautèle | Chemineau | Clampin | Coquecigrue | Débagouler | Déduit | Derechef | Diantre! | Ebaudir(s') | Esbigner(s') | Etalier | Faix | Faquin | Fess-mathieu | Fi! | Fla-fla | Flambard | Flandrin | Fortifs | Gandin | Génitoires | Goguenardise | Gommeux | Goualante | Gourgandine | Gourme | Grimaud | Gueux, Gueuse, Gueuserie | Hommasse | Huis | Icelui, Icelle | Jean-foutre | Jocrisse | Jouvenceau, Jouvencelle | Lupanar | Macache | Mafflu, Mafflue | Manant | Mâtin | Matutinal, Matutinale, Matutinaux | Melliflu, Melliflue | Mirliflore | Momerie | Moult | Nasarde | Nénette | Nitescence | Opiniâtrer(s') | Patache | Pauvresse, Pauvret, Pauvrette | Peccamineux, Peccamineuse | Pékin | Pendard, Pendarde | Péronnelle | Pétuner | Potiner | Potron-minet | Priapée | Purotin | Quia (à) | Radeuse | Rastaquouère | Ribote | Robin | Rufian | Saperlipopette! | Sapience | Scrogneugneu | Seoir | Septentrion | Subséquemment | Suivez-moi-jeune-homme | Tire-laine | Toquer | Torche-cul | Tranche-montagne | Trotte-menu | Turlutaine | Valétudinaire | Venette | Vétille, Vétiller, Vétilleux, Vétilleuse, Vétillard, Vétillarde | Vit | Y
Bernard Pivot ist der "Literaturpapst" des französischen Fernsehens. Von seiner Kultsendung wird er sich im Juni (2001) verabschieden - zum Leidwesen einer ganzen Nation!
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Die Diktate, die man bei "TV5" findet sind etwas ladeintensiv. Aber wenn man eines der Diktate ausprobieren möchte, sollte man die Möglichkeit nutzen. (Klicken Sie auf die Diktate "New York", "Alexandrie" oder "Beyrouth" und gedulden Sie sich etwas bis die Übertragung beginnt.) Danach kann man dann die verschiedenen Sequenzen auswählen.
Erstellt: 2004-06
Q
R
Rollin, François (Auteur)
Les grands mots du professeur Rollin
Panacée, ribouldingue et autres mots à sauver
Poche: 311 pages
Editeur : Points (23 août 2007)
Collection : Le goût des mots
Langue : Français
Présentation de l'éditeur
" Mes chers compatriotes, ce beau dimanche me trouve d'humeur badine. Et ladite humeur me conduit à réhabiliter avec vous, non pas un mot utile, mais un mot rigolo : le nycthémère. Le nycthémère est une unité physiologique de temps, d'une durée de vingt-quatre heures, comprenant un jour et une nuit. Malheureusement, il serait impropre, si on va passer vingt-quatre heures chez sa mère, de dire " je vais passer un nycthémère chez ma mère. " Prolongeant l'entreprise de " sauvetage des mots menacés d'extinction " qu'il mène chaque dimanche sur France Culture, le professeur Rollin nous livre les 99 mots indispensables à la survie en milieu francophone. Sans lui, qui diable saurait encore ce que " ratiociner ", " gongorisme " ou " fuligineux " veulent dire ?
Biographie de l'auteur
François Rollin s'est fait remarquer dans les années quatre-vingts en participant à la série " Palace ". Il a ensuite participé aux " Guignols de l'info " sur Canal +. Il officie aujourd'hui sur scène et à la radio.
S
Saint-Mars, Des Douitz De (Auteur)
Essai Dun Dictionnaire D'Etymologies Gauloises
Divise En Trois Parties (1785)
Broché: 146 pages
Editeur : Kessinger Publishing (juillet 2009)
Langue : Français
Erstellt: 2010-10
T
Tillier, Marianne (Auteur)
Les expressions de nos grands-mères
Broché: 170 pages
Editeur : Points (6 novembre 2008)
Collection : Points Goût des Mots
Langue : Français
Présentation de l'éditeur
Tout le monde connaît l'expression "En voiture, Simone!"... Mais saviez-vous que la formule complète est "En voiture, Simone, c'est moi qui conduis, c'est toi qui klaxonnes!"? On la doit à l'engouement suscité par Simone-Louise de Pinet de Borde, une des premières femmes à avoir participé à des rallyes automobiles! Rhabiller les gamins, se faire chanter Ramona, manger à s'en faire péter la sous-ventrière, s'en jeter un derrière la cravate, avoir les yeux bordés d'anchois, ne pas attacher son chien avec des saucisses...: entendues dans la bouche de nos grands-mères, ces expressions imagées et délicieusement drôles, au parfum de nostalgie, nous rappellent combien le français est une langue vivante et inventive!
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