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Cinématographe (W3)

MUSEE DE LA CINEMATHEQUE FRANCAISE
Nouveauté rentrée 2008 : Laissez-vous emporter par la voix d'André Dussollier et découvrez quelques uns des plus grands trésors de l'aventure cinématographique...
01h29mn45s

Une des plus belles collections sur l'histoire du cinéma.

En suivant la visite audio du musée, parcourez avec André Dussollier l'histoire et la préhistoire du cinéma et découvrez quelques uns des plus grands trésors de l'aventure cinématographique : instruments d'optique, caméras, lanternes magiques, costumes mythiques, affiches, documents de tournage et objets cultes...

Au cours de cette visite, vous retrouverez les plus grands noms du cinéma, de Charlie Chaplin à Alfred Hitchcock, de Fritz Lang à Luis Buñuel.

Si vous souhaitez suivre la visite avec votre propre lecteur mp3, nous vous proposons de télécharger les 53 séquences de l'audioguide.

Vous pouvez dès à présent écouter 10 extraits en ligne.

Copyrights des photographies : Stéphane Dabrowski (séq. 1,2,3,4,5 et Panoramique de la grande vitrine) Jaïme ocampo (séq. 7,8,9,10)

Télécharger la visite complète

• 1 Naissance d'une collection
• 3 Les lanternes magiques
• 5 Georges Méliès, homme-orchestre du cinema
• 10 Jouets d'optique
• 12 Naissance du cinéma : Etats-Unis, Angleterre, France
• 15 Naissance de la pellicule 35
• 21 Les frères Lumière, de la photographie au cinéma
• 37 Costumes de stars
• 41 Peau d'Âne de Jacques Demy
• 47 L'Etoile de mer (Man Ray, 1928), Un chien andalou (Luis Bunuel, 1929) : deux films à quatre mains

Musée Lumière
Découverte des origines du Cinématographe et de la fabuleuse aventure des frères Lumière au sein même de la maison familiale « le Château Lumière »…
22mn35s

Bienvenue chez l'inventeur du Cinématopgraphe !

Cette visite est un parcours esthétique, scientifique et historique au travers de l'invention du Cinématographe par Louis Lumière en 1895.

La collection de l’Institut est augmentée de celle rassemblée par le docteur Paul Génard. Elle compte des chefs-d'œuvre techniques comme le célèbre "Cinématographe n°1" (séquence n°6), qui projeta les dix premiers films le soir du 28 décembre 1895, au Grand Café à Paris, devant 33 curieux devenus les premiers spectateurs.

20 séquences sonores (en écoute libre) vous accompagneront tout au long d'une visite d'environ 1h30.

L'audioguide est également à disposition sur place au tarif de 3€.

Bonne visite !

Télécharger la visite complète

• 1 Le jardin d’hiver
• 2 La maquette des Usines Lumière
• 3 Lanterne magique Lapierre
• 4 Fusil photographique d’Étienne-Jules Marey
• 5 Kinétoscope d’Edison
• 6 Le cinématographe Lumière n°1
• 7 Le n° 101
• 8 Maquette du Salon Indien, la 1ère salle de cinéma
• 9 Affiche du Cinématographe Lumière par Henri Brispot
• 10 Projecteur Photorama Lumière
• 11 Chambre photographique à soufflet d’Antoine Lumière
• 12 La plaque Autochrome
• 13 Lumière inventeur
• 14 La sortie des cinéastes - Lumière et compagnie
• 15 Le hall, l’escalier
• 16 La chambre d’Antoine
• 17 La frise familiale
• 18 La maquette de la maison
• 19 Gabriel Veyre
• 20 Des plaisirs et des jours

L'Institut Lumière est installé depuis 1982 au coeur de Monplaisir, quartier historique de Lyon où les frères Lumière ont inventé le Cinématographe et tourné le premier film de l'histoire du cinéma : Sortie d'usine, en 1895.

A la fois lieu de mémoire et salle de projection, il est un véritable Musée Vivant du Cinéma.

On projette des films, on invite les metteurs en scène, on organise des expositions, on forme les jeunes spectateurs.

Ses deux missions sont la conservation du patrimoine - films, livres, photos, affiches, appareils de cinéma et de pré-cinéma - et les activités artistiques de diffusion - projections de films, expositions, édition, formation.

(1895) Cinématographe

193. Boris Vian "Cinématographe"

français, "cinématographe"
définition / sens : à partir de 1892 = "cinéma" (terme créé par les frères Lumière)
sens étymologique : "représentation du mouvement"
dérive de : grec, "kinêma" et grec, "graphein"
a produit le(s) dérivé(s) suivant(s) :
allemand, "Kinematograph" †
français, "cinéma"
grec, "kinêmatographos"
définition / sens : "cinéma"
turc, "sinema"
définition / sens : "cinéma"

DVD - Etymologie et traduction de l'acronyme 'DVD' (W3)

...
La consultation de diverses bases de données terminologiques donne des résultats assez différents pour justifier une discussion, sur une base plus sérieuse que des références à des articles de journaux techniques.

Les quatre grandes bases terminologiques suivantes ne recensent que l’expression "digital video disk" pour "DVD" :
...
Ensuite, de nombreux glossaires offrent les 2 possibilités ("versatile" et "video") :
...

Film noir (W3)

• 1. A movie characterized by low-key lighting, a bleak urban setting, and corrupt, cynical characters.
• 2. The genre or style of such movies.

Der Begriff stammt übrigens von der französischen Rezeption der Filme her, die, durch den Krieg verzögert, erst im Laufe des Sommers 1946 einsetzte. Der Terminus "noir" leitet sich wahrscheinlich von der "série noir" ab, in der Marcel Duhamel die Romane zeitgenössischer amerikanischer Kriminalschriftsteller wie Dashiell Hammett, Raymond Chandler und James M. Cain aus der sogenannten hard-boiled school of fiction, der Schule der hartgesottenen Kriminalliteratur, veröffentlicht hatte. Barbara Steinbauer-Grötsch sucht nach einer Definition des "film noir", zu denen Fritz Langs "You Only Live Once" (1937) und John Hustons "The Maltese Falcon" (1941) gehören, welche die desillusionierte Stimmung jener Zeit trafen. Zumeist handelte es sich um B-Movies. Mit Samuel Fullers "The Crimson Kimono" (1959) und "Underworld U.S.A." (1961) kam das Ende des Genres. Steinbauer-Grötsch untersucht das Schicksal der Emigranten (Regisseure, Produzenten, Schauspieler, etc). Vor allem aber spürt sie den (deutschen) Wurzeln der Figuren und Motive nach, die der amerikanische film noir benutzt (Doppelgänger, Spiegel, Persönlichkeitsspaltungen, Rückblenden, etc.).

hollywoodien (W3)

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En angl., "Hollywood" est employé adjectivement et sont attestés les adj. dér. "hollywoodesque", "hollywoodian" (correspond à "hollywoodien"), "hollywoodean", "hollywoodish".
...

Rive gauche (W3)

Der Begriff meint eigentlich das linke Seine-Ufer (insbesondere das Quartier Latin) und damit das Künstlerquartier in Paris. Im filmwissenschaftlichen Kontext erscheint er zum ersten Mal 1962 bei Godard und bezeichnet eine kleine Gruppe linksintellektueller französischer FilmemacherInnen (Alain Resnais, Agnès Varda und Chris Marker). Der Terminus hatte die Funktion, diese Gruppe samt ihrem explizit politischen Kino von den ehemaligen Kritikern der Cahiers du cinéma (Chabrol, Godard, Rivette, Rohmer, Truffaut) und damit von der zeitgleichen, eher cinephilen Nouvelle Vague abzugrenzen. Er blieb stets eine Fremdbezeichnung, die weder Resnais noch Varda oder Marker für sich selbst beanspruchten. Nachträglich wurden auch Marguerite Duras und Alain Robbe-Grillet, die beide über die Zusammenarbeit mit Resnais zum Film fanden, dem rive gauche zugerechnet. Beispiele: HIROSHIMA, MON AMOUR (1959, Alain Resnais); L'ANNÉE DERNIÈREÀ MARIENBAD (1960, Alain Resnais); CLÉO DE 5 À 7 (1961, Agnès Varda); LA JETÉE (1962, Chris Marker); NATHALIE GRANGER (1972, Marguerite Duras). (PB)

Le français retrouvé 17
Montvalon, Christine de
Les mots du cinéma

Comme les autres recueils-dictionnaires de cette collection, celui-ci traite sérieusement mais avec beaucoup d'humour des termes du métier, techniques, bien sûr, mais aussi esthétiques et génériques accompagnés d'anecdotes et de citations adéquates.